Question d'origine :

Réponse du Guichet

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Le 11/04/2013 à 11h19

Réponse du Guichet

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Le 11/04/2013 à 15h19
Avatar par défaut Commentaire de navis : Publié le 28/01/2016 à 17:34
J'avais posé une question sur le prix Albert Morancé le 9/4/2013 et j'ai trouvé la réponse de façon tout à fait fortuite sur "Byblis, miroir des arts du livre et de l'estampe" N° 6 du printemps 1923 Concours des « amis de Byblis » Le prix Albert Morancé On sait que la protection agissante que les « amis de Byblis » accordent aux artistes-graveurs s’est manifestée en particulier par la fondation de quatre prix annuels à décerner, le premier à un graveur sur bois, le second à un graveur sur cuivre, le troisième à un lithographe et le quatrième à l’auteur d’une page de décoration typographique. Le prix Albert Morancé, institué pour la gravure sur cuivre (eau forte, burin, pointe sèche, vernis mou …) a été décerné le 25 juin par un jury composé de MM. Albert Besnard, membre de l’Institut, président ; Albert Morancé, éditeur ; Pierre Gusman, directeur de Byblis ; Thiebaut-Sisson, critique d’art et Loys Delteil, expert, après référendum des abonnés de byblis et de Le livre de l’Estampe. La lutte s’est circonscrite entre une délicate et souple pointe sèche de Mme Jeanne bardey, la cigarette, une manière noire de Raphaël Drouart, remarquable par son style et ses qualités décoratives, une pittoresque eau forte de J.P. Tillac et une vivante pointe sèche par De Herain. Le choix du jury s’est finalement arrêté sur la planche de Mme Jeanne Bardey dont nous sommes heureux de publier une épreuve dans ce fascicule. Je tenais à vous faire part de cette découverte qui peut intéresser d'autres chercheurs. Avec mes meilleures salutations. André VESSOT

Réponse du Guichet

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Le 29/01/2016 à 08h19
Avatar par défaut Commentaire de navis : Publié le 13/04/2016 à 16:01
J'avais posé une question le 09/04/2013 sur les prix Albert Morancé et Conté. En recherchant sur Gallica, dont les collections se sont enrichies, j'ai pu compléter mes informations. Art et décoration d'octobre 1926 évoque la création de ce prix : Depuis quelques années la « Société des crayons Conté » a décidé de créer des prix dans le but d’encourager l’étude et la pratique du dessin. Ainsi quatre prix de 1.000 francs sont attribués aux meilleurs dessins aux crayons, exposés dans les salons annuels des quatre sociétés d’art : Société des Artistes Français, Société Nationale des Beaux-Arts, Société du Salon d’Automne, Société du salon des Tuileries. Et en recherchant dans Comoedia j'ai trouvé dans le numéro du 20 mai 1930 qu'au salon de 1930 de la Société Nationale des Beaux-Arts ce prix avait été attribué à une Mme Bardej. Je pense qu'il s'agit bien de Mme Bardey et que la mauvaise orthographe est dûe à une erreur du journal. André VESSOT

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