Question d'origine :
Bonjour,
quelle est la Dose journalière autorisée de l'additif E466?
merci
Réponse du Guichet
bml_san
- Département : Médiathèque du Bachut Santé
Le 30/03/2007 à 09h44
L’additif E466 , définition
Substance naturelle ou artificielle (chimique) ajoutée à un aliment ou à un médicament de façon à modifier ses propriétés. Les additifs alimentaires les plus courants sont le colorant, l'édulcorant (pour donner un goût sucré) et le conservateur.
La réglementation portant sur les additifs qui sont rajoutés aux aliments est particulièrement stricte, en tout cas dans les pays occidentaux. La France a adopté une politique de liste positive : les produits utilisés comme additifs alimentaires doivent non seulement expliciter clairement leurs propriétés mais également leur usage. Malheureusement, les intérêts financiers (que ce soit en France, dans la communauté européenne ou dans les autres pays) passent souvent avant l'intérêt du consommateur. Ces additifs, qui sont devenus inévitables pour la préparation alimentaire moderne, sont classés en quatre grands types : les colorants, les conservateurs, les antioxydants et les agents de texture. Les familles d'additifs alimentaires sont codées de la façon suivante : ils comportent la lettre E en majuscule ce qui signifie Europe, suivie d'un chiffre allant de 100 à 500.
de E460 à E466 : cellulose et dérivés = produits diététiques et alimentation du bétail.
(source: vulgaris médical, article additifs alimentaires )
Les additifs alimentaires
L’usage des additifs alimentaires inquiète toujours les consommateurs.
Malgré leurs caractéristiques modernes, les additifs alimentaires sont employés depuis des siècles. La conservation des aliments a commencé quand l'homme a appris à protéger chaque récolte jusqu’à la récolte suivante et à conserver viande et poisson en les salant ou en les fumant. Les Egyptiens ont utilisé des colorants et des arômes pour augmenter l'attrait de certains produits alimentaires et les Romains ont eu recours au salpêtre (ou nitrate de potassium), aux épices et colorants pour la conservation et l'amélioration de l’apparence des aliments. De tout temps, les cuisiniers ont régulièrement employé la levure en tant qu’agent levant, des épaississants pour les sauces, les sauces au jus et colorants comme la cochenille pour transformer des matières premières de bonne qualité en des produits alimentaires sûrs, sains et agréables à manger. Le but de la cuisine traditionnelle n’est guère différent de celui des aliments préparés ou en conserve d’aujourd’hui.
Ces 50 dernières années, les développements scientifiques dans l'alimentation et les avancées technologiques ont abouti à la découverte de nouvelles substances qui peuvent remplir de nombreuses fonctions dans des produits alimentaires divers. Ces additifs alimentaires sont maintenant aisément disponibles, et comprennent : les émulsifiants dans la margarine, les édulcorants dans les produits à basses calories et une gamme plus large de conservateurs et d’antioxydants pour ralentir la dégradation du produit et le rancissement, tout en maintenant le goût.
Que sont les additifs alimentaires et pourquoi sont-ils nécessaires?
Un additif alimentaire est défini comme "n'importe quelle substance habituellement non consommée comme un aliment en soi et non employée comme un ingrédient caractéristique de l’aliment, qu’il ait une valeur nutritionnelle ou non, dont l’addition intentionnelle à l’aliment pour un but technologique dans la fabrication, le traitement, la préparation, l'emballage, le transport ou le stockage devient, ou peut s’attendre raisonnablement à devenir, lui ou un de ses dérivés, directement ou indirectement, un composant de cet aliment (Directive 89/107/EEC). Nombre d’ additifs alimentaires mentionnés sont naturels et quelquefois même, sont des nutriments essentiels; c’est simplement leur but technique qui les fait entrer dans la catégorie des additifs alimentaires et qui leur confère un nombre E.
Les additifs alimentaires jouent aujourd’hui un rôle important dans l’approvisionnement alimentaire. Jamais auparavant la gamme et le choix d’aliments n’ont été si larges, que ce soit dans les supermarchés, dans les magasins spécialisés ou au restaurant. Alors que le nombre d’individus travaillant dans le secteur primaire est de plus en plus restreint, les consommateurs exigent encore plus de variété, de choix et de facilité d’utilisation, en même temps que des normes de sécurité et de salubrité plus élevées et des prix accessibles. Répondre à cette demande est réalisable seulement par l'utilisation de technologies industrielles modernes, qui suppose l’emploi d’une variété d'additifs alimentaires qui ont apporté la preuve de leur efficacité et de leur sécurité.
Les additifs remplissent une variété de fonctions utiles dans les produits alimentaires, qui sont souvent considérés comme allant de soi. Les produits alimentaires sont pourtant soumis à beaucoup de conditions environnementales, tels que des changements de température, l'oxydation et l'exposition bactérienne, qui peuvent modifier leur composition originale. Les additifs alimentaires jouent un rôle clef dans le maintien des qualités et les caractéristiques de l’aliment que les consommateurs exigent et ce, de la fourche à la fourchette. Les additifs alimentaires sont rigoureusement réglementés et parmi les critères généraux d’utilisation, ils doivent s’avérer utiles, sûrs et ne doivent pas induire le consommateur en erreur.
Comment la sécurité des additifs alimentaires est-elle évaluée en Europe ?
Tous les additifs alimentaires ne doivent pas seulement démontrer un but utile, mais ils doivent aussi répondre à une évaluation scientifique approfondie et rigoureuse de leur sécurité avant d’être approuvés. Jusqu’à la création de l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments (AESA), la sécurité des additifs était évaluée par le Comité Scientifique de l'Alimentation Humaine (CSAH). Aujourd’hui, c’est le Groupe scientifique sur les additifs alimentaires, les arômes, les auxiliaires technologiques et les matériaux en contact avec les aliments (AFC Panel) de l’AESA qui est chargé de cette tâche. Au niveau international, il existe également le Comité Conjoint d’Experts sur les Additifs alimentaires (JECFA) de l’Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Les évaluations reposent sur l’examen de toutes les données toxicologiques disponibles, incluant des observations chez l’homme et dans des modèles animaux. A partir de ces données, une dose maximale n’ayant aucun effet toxique démontrable est déterminée. C’est la « dose sans effet » (DSE), utilisée pour calculer la « dose journalière admissible » (DJA) pour chaque additif alimentaire. La DJA fournit une grande marge de sécurité et stipule qu’à cette dose, un additif alimentaire peut être consommé quotidiennement toute la vie, sans aucun effet indésirable sur la santé.
Le CSAH, autrefois, et l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments, aujourd’hui, encouragent l’utilisation des doses les plus basses possible pour chaque additif. Pour s’assurer que les consommateurs n'excèdent pas la DJA en consommant de trop grandes quantités d’un additif particulier, la législation européenne exige que des études soient faites en parallèle avec les différents types d’exposition réellement présents dans la population. Si la consommation quotidienne dépasse de temps en temps la DJA, il est peu probable que cela engendre des effets toxiques sur la santé, en raison de la grande marge de sécurité équivalente à 100 fois la DSE. Cependant, si la DJA était régulièrement dépassée par des tranches particulières de la population, la Commission évaluerait le besoin de réviser les quantités présentes dans les aliments ou réduirait la gamme des produits alimentaires dans lesquels on autorise l'additif.
La Commission du Codex Alimentarius rédige actuellement de nouveaux critères généraux pour les Additifs alimentaires, dans le but d'établir une harmonisation des normes sur le plan international. Seuls les additifs évalués par le JECFA y sont inclus.
Grâce à un règlement strict et leur mise à l'épreuve approfondie, les additifs alimentaires peuvent être considérés comme des constituants sûrs de notre régime alimentaire, qui contribuent à l'évolution rapide de l’alimentation en Europe et dans le monde entier.
Comment les additifs alimentaires sont-ils légiférés en Europe ?
Un véritable marché unique pour les produits alimentaires ne pourrait pas exister sans une harmonisation des règlements relatifs à l’autorisation et aux conditions d’utilisation d'additifs. En 1989, la Communauté européenne a adopté une directive générale 89/107/EEC exposant les critères d’évaluation des additifs, ainsi que trois directives techniques spécifiques : la directive 94/35/EC sur les édulcorants, la directive 94/36/EC sur les colorants et la directive 95/2/EC sur les autres additifs. Ces trois directives établissent la liste des additifs pouvant être employés (selon le principe de la liste positive), les produits alimentaires dans lesquels ils peuvent être ajoutés et leurs concentrations maximales. La pureté exigée pour ces additifs est fixée dans des directives définissant les critères spécifiques de pureté.
Les nombres E...
Le nombre E... signifie l’approbation d’un additif par l’UE. Pour l’obtenir, l’additif doit avoir été complètement évalué par le CSAH ou par l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments. Le système des nombres E sert aussi facilement dans toutes les langues de l’UE. Liste des nombres E.
(…)
Quels sont les additifs alimentaires employés en Europe ?
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Les additifs qui amplifient ou améliorent les qualités sensorielles
Certains additifs sont utiles pour améliorer certaines caractéristiques des aliments, comme la texture, la couleur ou le goût.
Les exhausteurs de goût et les agents texturant
•Émulsifiants et stabilisateurs. Le but de ces additifs alimentaires est de maintenir la texture et empêcher la séparation d'ingrédients dans des produits comme la margarine, les matières grasses allégées, la glace, les sauces pour salade et la mayonnaise. Beaucoup d’aliments courants pauvres en matières grasses font appel à cette technologie. Toute recette qui exige le mélange d'ingrédients normalement non miscibles entre eux, comme la graisse et l'eau, nécessite l’usage d’émulsifiants et de stabilisateurs pour obtenir la consistance désirée. Les exemples incluent la lécithine, les mono- et les diglycérides.
•Epaississants. Ces substances augmentent la viscosité des produits alimentaires. Ils sont ajoutés aux sauces pour salade et au lait aromatisé. La gélatine ou la pectine sont souvent employées à cet effet.
•Edulcorants. Les édulcorants « massiques » et « intenses » communiquent une saveur sucrée aux produits alimentaires et sont utiles dans les aliments allégés ou diététiques, comme ceux pour les diabétiques. Les édulcorants intenses, comme l’acésulfame K (E950), l’aspartame (E951) et la saccharine (E954) sont respectivement 130-200 fois, 200 fois et 300-500 fois plus « sucrants » que le sucre, sans apporter de calories. La thaumatine (E957), une protéine naturelle extraite du fruit du Thaumatococcus danielli est 2500 fois plus sucrante que le sucre et est utilisée en très faibles quantités pour ses propriétés d'assaisonnement. Les édulcorants massiques comprennent le sorbitol (E420), l’isomalt (E953) et le maltitol (E965). Ceux-ci peuvent être incorporés dans des édulcorants de table et dans des produits alimentaires pauvres en calories, dans lesquels ils apportent de l’onctuosité et du volume. Ces substances ont une valeur calorique réduite (2.4 kcal/g).
•Les exhausteurs de goût. Le plus connu d’entre eux est le glutamate de sodium (lE621), qui est employé pour révéler et augmenter les saveurs des produits alimentaires auxquels il est ajouté. Il est employé principalement dans des aliments assaisonnés et dans une large variété de plats orientaux.
•Autres. Ce groupe comprend les acides, les régulateurs d'acidité, les agents anticoagulants, les agents antimousse, les gaz d'emballage (employés dans certains types de paquets scellés pour la viande, le poisson, les fruits de mer et les légumes prêts à l’emploi), etc.
(…)
Questions et réponses sur la Dose Journalière Admissible (DJA)
-> Qu’est ce que la DJA ?
La Dose Journalière Admissible (DJA) est une estimation de la quantité d'un additif alimentaire, exprimée sur la base du poids corporel, qui peut être ingérée quotidiennement toute la vie sans risque appréciable pour la santé. Ce dernier terme signifie dans la pratique, qu’au stade actuel des connaissances, aucun n’effet toxique ne peut-être attribué à l'additif concerné pour ce niveau d’exposition. On exprime généralement la DJA en mg/kg/j.
-> Quel est le but de la DJA ?
Les DJA servent à protéger la santé des consommateurs et à rendre plus aisé le commerce alimentaire international. La DJA est une approche pratique de la sécurité des additifs alimentaires et permet d’harmoniser les contrôles. L'avantage pour les autorités de proposer une DJA pour chaque additif est qu’elle est universellement applicable dans des pays différents et à tous les membres de la population.
-> Qui détermine la DJA ?
Essentiellement, des comités d’experts scientifiques, des autorités nationales et internationales. Les évaluations de la sécurité des additifs alimentaires se sont développées de manière unilatérale au sein des Etats membres de l'Union européenne et dans la communauté internationale. Le JECFA est le principal organisme évaluant la sécurité alimentaire des additifs. L’harmonisation à l’échelle internationale est devenue de plus en plus importante ces dernières années. Actuellement, une nouvelle norme appelé la Norme Générale pour les Additifs alimentaires (GSFA) est rédigée par la Commission du Codex Alimentarius, pour déboucher sur une norme harmonisable, réalisable et indiscutable sur le plan international. Seuls les additifs approuvés par le JECFA y sont inclus. Au niveau de l’UE, les additifs approuvés par la législation actuelle ont tous été évalués par le Comité Scientifique de l'Alimentation Humaine (CSAH) et leur inclusion dans une directive appropriée a été approuvée par chacun des Etats membres. Ce comité consultatif propose généralement une DJA, ou en l’absence de DJA, peut stipuler d'autres limitations sur l'utilisation de l’additif. Seuls les additifs évalués par le CSAH reçoivent un nombre E. Le concept de la DJA et les évaluations du JECFA ont été largement adoptés par le CSAH, la FDA et d’autres autorités de par le monde.
-> Comment la DJA est-elle déterminée ?
Les critères généraux pour l'utilisation des additifs alimentaires exposés dans les directives européennes stipulent que les additifs sont approuvés seulement s'ils apportent la preuve de leur innocuité pour la santé humaine aux doses proposées. L'évaluation de la sécurité est basée sur une revue scientifique de toutes les données toxicologiques pertinentes sur l’additif spécifique, chez l’homme et l’animal. Dans l'UE, ce travail est réalisé par le CSAH. Les essais toxicologiques incluent des études à long terme et transgénérationnelles pour déterminer comment l'additif est métabolisé par l’organisme et évaluer ainsi tous les effets toxiques probables. Le point de départ pour établir la DJA est la détermination d’une Dose Sans Effet (DSE) chez l’espèce animale la plus sensible. La DSE est donc la dose en dessous de laquelle aucun effet défavorable n'a été observé dans les études. Elle s’exprime en mg/kg/j. La DJA est la DSE divisée par un facteur de sécurité, habituellement de 100.
-> Pourquoi une marge de sécurité est-elle nécessaire ?
Pour deux raisons. Premièrement, la DSE est définie chez l’animal, pas chez l’homme. Il est donc plus prudent de corriger ce facteur pour mettre en avant les différences de sensibilité entre l’homme et l’animal. Deuxièmement, la fiabilité des tests toxicologiques est limitée par le nombre d’animaux testés. De tels tests ne peuvent pas être représentatifs de la diversité de la population humaine, dans laquelle des sous-groupes peuvent exprimer des sensibilités différentes (enfant, personne âgée ou malade).
-> Quelle marge de sécurité est généralement employée pour les additifs
alimentaires ?
Traditionnellement, l'OMS a employé un facteur de sécurité de 100, basé sur un facteur 10 pour tenir compte des différences entre l’homme et l’animal et un autre facteur 10 considérant les différences au sein d’une même espèce et chez les sous-groupes sensibles (femmes enceintes, personnes âgées). Cependant, il peut varier selon les caractéristiques de l'additif, les données toxicologiques et les conditions d'utilisation.
-> Est-il préjudiciable pour un individu de dépasser ponctuellement la DJA ?
La consommation ponctuelle d'un additif au-delà de sa DJA ne pose aucun problème, car la DJA possède un grand facteur de sécurité et, dans la pratique, une consommation supérieure à la DJA est compensée la plupart des autres jours. Cependant, si des statistiques de consommation indiquent que la DJA est régulièrement dépassée par des tranches particulières de la population, la Commission évaluerait le besoin de réviser les quantités présentes dans les aliments ou réduirait la gamme des produits alimentaires dans lesquels on autorise l'additif. En raison de la grande marge de sécurité attribuée à la DJA, il est fort probable que pour dépasser la DJA d’un additif donné, il faille consommer des quantités considérables (et rarement atteintes) de l’aliment qui le contient pour poser un réel problème pour la santé.
-> Comment la consommation d’additifs alimentaires est-elle évaluée ?
Le contrôle des additifs alimentaires est effectué par les Etats membres sur le conseil du CSAH. La DJA est comparée avec des évaluations de consommation "moyennes" et "extrêmes" dans la population générale et dans des sous-groupes particuliers de la population. Si les consommations moyennes et extrêmes demeurent sous la DJA, il est peu probable que des effets nocifs pour la santé soient observés. Afin de garantir que les consommateurs n'excèdent pas la DJA en consommant trop d’un aliment contenant un additif particulier, la législation européenne exige que des études de consommation soient effectuées régulièrement pour évaluer quels sont les différents modèles alimentaires.
La surconsommation
Les additifs contiennent souvent des substances chimiques qui, à forte dose, provoqueraient ballonnements, nausées puis vomissements. Afin d'éviter de tels problèmes, une dose journalière admissible (DJA), en dessous de laquelle aucun effet n'est constaté sur l'organisme, a été définie pour certains additifs, sans pour autant lever le problème de l'information des consommateurs.
Additif alimentaire généralement répertorié comme dangereux (cancérigène ou autre)
E102, E110, E123, E124, E127, E131, E142, E154, E160, E163, E174, E210, E211, E212, E213, E214, E215, E216, E217, E218, E239, E249, E250, E251, E252, E620, E621, E625, E907, E926, .
Additifs alimentaires à éviter
E120, E173, E175, E220, E221, E222, E223, E224, E225, E226, E227, E270, E290, E311, E312, E320, E321, E341, E403, E405, E407, E925, E951. Ferrocyanure de sodium, Ferrocyanure de potassium, Manganitrile de fer.
Additifs alimentaires allergisants
E102, E110, E120, E123, E124, E125, E126, E330, E331, E332, E333.
Additifs alimentaires contrariant la fixation de la vitamine B
E220, E221, E222, E223, E224, E225, E226, E227.
Additifs alimentaires élevant la cholestérolémie
E320, E321.
Additifs alimentaires irritant pour le tube digestif
E220, E221, E222, E223, E224, E225, E226, E227, E460, E461, E462, E463, E464, E465, E466, E470, E471, E472, E473, E474, E475, E476, E477
Additifs alimentaires qui ralentissent la digestion
E290, E338, E339, E340, E341, E450, E460, E461, E462, E463, E464, E465, E466, E470, E471, E472, E473, E474, E475, E476, E477.
Additifs alimentaires qui provoquent une sensibilité cutanée
E311, E312, E330, E331, E332, E333.
Additifs alimentaires suspects
E104, E122, E123, E124, E127, E131, E132, E141, E142, E150, E151, E171.
Additifs alimentaires dont on ne doit pas abuser
E300, E301, E302, E303, E304, E310, E330, E331, E332, E333, E450, E460, E461, E462, E463, E464, E465, E466, E470, E471, E472, E473, E474, E475, E476, E477, E500, E507, E570, Glutamate de sodium.
(source : EUFIC Conseil européen de l'information sur l'alimentation)
Pour en savoir plus : site Nutrition & Diététique
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