Question d'origine :
bonjour,
Je souhaiterais obtenir des informations sur les 5,5 designers et leur travail sur la ceramique,je sais qu'ils ont travaillés avec une manufacture sur le theme de l'accident.A present je recherche donc une revue...intramuros,beaux arts....susceptible de m'aider.merci d'avance
Réponse du Guichet
bml_art
- Département : Arts et Loisirs
Le 05/04/2007 à 11h00
Vincent Baranger : né le 28/05/1980 à La Roche sur Yon
Bac Arts Appliqués à Montaigu, Licence d'Arts Appliqués, ENS cachan ACI, DSAA design produit à l'ENSAAMA Paris
Jean-Sébastien Blanc : né le 21/10/1980 à Nîmes
MANAA à Nîmes, BTS et DSAA design produit à l'ENSAAMA Paris, DEA CPI à L'ENSAM Paris
Anthony Lebossé : né le 14/01/1981 à Caen
Bac Arts Appliqués à Caen, BTS design produit à La Souterraine, DSAA design produit à l'ENSAAMA Paris
Claire Renard : née le 12/11/1980 à Poissy
MANAA, BTS et DSAA design produit à l'ENSAAMA Paris, DEA CPI à l'ENSAM Paris
Ce groupe a travaillé en particulier en liaison avec l’entreprise de porcelaine Bernardeau, pour l’exposition organisée par Droog Design, du 12 décembre au 28 janvier 2007.
Vous trouverez tous les renseignements que vous souhaitez sur leur site cinqcinqdesigners.com, en français et en anglais, qui est particulièrement bien conçu et complet.
Vous aurez notamment à consulter :
le menu
Le menu
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Pour repérer et lire des articles concernant ce groupe de designers dans la presse généraliste, vous avez également la possibilité de consulter en bibliothèque la base de dépouillement LexisNexis. Cette dernière donne 26 références à la recherche
Voici à titre d'exemple un passage tiré de l'article paru dans
« On veut dépasser le processus classique qui va de la conception à l'industrialisation. pour nous, être designer, ce n'est pas seulement dessiner une forme. par exemple, la fondation bernardaud nous a demandé de faire des propositions autour de la porcelaine. plutôt que de créer de nouveaux moules, nous avons travaillé directement sur la chaîne de production, en demandant aux ouvriers de modifier l'emplacement des anses sur les tasses. Cela supposait de perturber des gestuelles acquises par certains depuis plus de quarante ans. C'était un peu déstabilisant, mais cela permettait de valoriser leur savoir-faire et de leur redonner une certaine liberté dans un contexte de production standardisée. »
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