AGGLOMERATION
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 28/02/2011 à 08h57
117 vues
Question d'origine :
Bonjour,
J'avais lu, il y a déja quelques années , dans une revue-me semble t il du genre Sciences et vie ou équivalent-, un article, qui avait comme sujet: l'hypothèse, fictive et imaginaire, d'une grosse agglomération(le cas étudié était Paris, si je me souviens), qui se trouverait subitement abandonnée et désertée, de toute activité et vie humaine.
Ce reportage, illustré, énonçait le shéma chronologique des étapes successives de la reprise de la nature(essentiellement végétale), sur tous les éléments artificiels de la civilisation.
Mon souvenir est trés vague, mais je crois me souvenir, par exemple, quau bout de 10 ans d'abandon total, plus aucune circulation n'est possible, et qu'au bout de 60 ou 100 ans, la nature ayant totalement absorbée la ville, on n'en distingue plus aucune trace, vu de l'espace.
Veuillez m'excuser de la longueur de la question, due à l'imprecision de mon souvenir, mais j'espère que vous aurez compris le sens évident de ma question: Cela vous dit il quelquechose ???
Maintenant, outre cet article, il existe peut etre, un livre, document ou référence internet,qui évoquerait aussi ce sujet !!!!J'ai bien essayé, mais peu expérimenté en informatique, je fais appel à la compétence des professionnels de la documentation que vous etes...sans urgence, et une fois encore , merci.
Réponse du Guichet
anonyme
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 28/02/2011 à 16h22
Réponse du service Guichet du savoir
Les indications données sont en effet très imprécises, et nous avons eu bien des difficultés pour trouver un article ressemblant à celui que vous décrivez. Néanmoins, il s’agit peut-être du numéro 112 de la revue National Geographic « Que serait la terre sans les hommes ? »
Voici un résumé de ce dossier : Demain la Terre sans les humains
« Si elle disparaissait soudain, l’espèce humaine laisserait peu de traces, sauf de pollution. La nature opérerait une reconquête-éclair.
An 3000. De Créteil à Versailles, comme à Marseille, à New York ou à Shanghai, une forêt épaisse submerge le paysage. A Paris, entre les chênes, les bouleaux et les frênes serpentent la Seine et ses nombreux affluents »
D’autres articles ont pu être publiés sur le même sujet qui semble en vogue, surtout depuis la parution en 2007 du livre de vulgarisation d’Alan Weisman Homo disparitus.
Largement relayé par les médias à sa sortie, le journal l’Express en proposait un extrait :
« Que restera-t-il de New York quand ses habitants n'y seront plus? Les mauvaises herbes et les arbres envahiront les rues. Les chats, redevenus sauvages, domineront le monde des prédateurs. L'eau engloutira la ville, rongera les fondations des immeubles. Les uns après les autres, les bâtiments deviendront gravats, les usines, tas de ferraille. Pour se représenter cette apocalypse, Alan Weisman a interrogé des dizaines d'experts et de techniciens, visité des lieux déjà dévastés, comme la station balnéaire de Varosha, sur la côte orientale de Chypre, ou le no man's land entre les deux Corées. Parmi les épisodes les plus saisissants: la destruction du canal de Panamá et la fonte du c?ur des centrales nucléaires. Seuls subsisteront des débris métalliques et du plastique réduit en poudre. Une consolation: nos paroles voyageront longtemps sur les ondes hertziennes à travers l'Univers. »
Les indications données sont en effet très imprécises, et nous avons eu bien des difficultés pour trouver un article ressemblant à celui que vous décrivez. Néanmoins, il s’agit peut-être du numéro 112 de la revue National Geographic « Que serait la terre sans les hommes ? »
Voici un résumé de ce dossier : Demain la Terre sans les humains
« Si elle disparaissait soudain, l’espèce humaine laisserait peu de traces, sauf de pollution. La nature opérerait une reconquête-éclair.
An 3000. De Créteil à Versailles, comme à Marseille, à New York ou à Shanghai, une forêt épaisse submerge le paysage. A Paris, entre les chênes, les bouleaux et les frênes serpentent la Seine et ses nombreux affluents »
D’autres articles ont pu être publiés sur le même sujet qui semble en vogue, surtout depuis la parution en 2007 du livre de vulgarisation d’Alan Weisman Homo disparitus.
Largement relayé par les médias à sa sortie, le journal l’Express en proposait un extrait :
« Que restera-t-il de New York quand ses habitants n'y seront plus? Les mauvaises herbes et les arbres envahiront les rues. Les chats, redevenus sauvages, domineront le monde des prédateurs. L'eau engloutira la ville, rongera les fondations des immeubles. Les uns après les autres, les bâtiments deviendront gravats, les usines, tas de ferraille. Pour se représenter cette apocalypse, Alan Weisman a interrogé des dizaines d'experts et de techniciens, visité des lieux déjà dévastés, comme la station balnéaire de Varosha, sur la côte orientale de Chypre, ou le no man's land entre les deux Corées. Parmi les épisodes les plus saisissants: la destruction du canal de Panamá et la fonte du c?ur des centrales nucléaires. Seuls subsisteront des débris métalliques et du plastique réduit en poudre. Une consolation: nos paroles voyageront longtemps sur les ondes hertziennes à travers l'Univers. »
DANS NOS COLLECTIONS :
Ça pourrait vous intéresser :
Comment trouver des informations sur l'entreprise Camford...
Commentaires 0
Connectez-vous pour pouvoir commenter.
Se connecter