Question d'origine :
Le zèbre est-il un animal noire à rayures blanches ou un animal blanc à rayures noires.
Réponse du Guichet
gds_ctp
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 16/04/2012 à 09h39
Bonjour,
Selon nos recherches, on peut dire que le zèbre est noir à rayures blanches, puisqu'il est entièrement noir au stade foetal, selon cet article de WIKIPEDIA sur la formation des rayures, et que que les raies se forment par inhibition de la production de mélanine.
On pense qu'à l'origine un animal de cette taille tout blanc aurait eu moins facilement survécu dans son milieu qu'un animal foncé. Les rayures se seraient développées par la suite, et leur utilité reste encore mystérieuse, comme le raconte plaisamment Edouard Launet dans le livre "Au fond du zoo à droite" (Seuil, Science ouverte, 2009), p. 25. De nombreuses hypothèses existent : camouflage dans les herbes ou contre la mouche tsé-tsé, meilleure dissipation de la chaleur, brouillage de la vue des prédateurs lorsque le troupeau s'éparpille soudainement.
Notons que les rayures sont d'apparence différente selon les espèces. En effet, les rayures noires sont étroites et serrées jusqu'aux sabots pour le zèbre de Grévy, avec le ventre blanc.
Elles sont plus larges chez les autres espèces, où le noir peut sembler visuellement dominant.
Certains spécimens peuvent aussi être brun foncé et blanc, ou le blanc peut être remplacé par une couleur sable.
Notons que les rayures sont spécifiques à chaque individu, comme nos empreintes digitales. Elles permettent aux individus de se reconnaître, un peu comme on lit un code-barre. Il existe d'ailleurs un logiciel qui permet aux photographes animaliers de les identifier.
Selon nos recherches, on peut dire que le zèbre est noir à rayures blanches, puisqu'il est entièrement noir au stade foetal, selon cet article de WIKIPEDIA sur la formation des rayures, et que que les raies se forment par inhibition de la production de mélanine.
On pense qu'à l'origine un animal de cette taille tout blanc aurait eu moins facilement survécu dans son milieu qu'un animal foncé. Les rayures se seraient développées par la suite, et leur utilité reste encore mystérieuse, comme le raconte plaisamment Edouard Launet dans le livre "Au fond du zoo à droite" (Seuil, Science ouverte, 2009), p. 25. De nombreuses hypothèses existent : camouflage dans les herbes ou contre la mouche tsé-tsé, meilleure dissipation de la chaleur, brouillage de la vue des prédateurs lorsque le troupeau s'éparpille soudainement.
Notons que les rayures sont d'apparence différente selon les espèces. En effet, les rayures noires sont étroites et serrées jusqu'aux sabots pour le zèbre de Grévy, avec le ventre blanc.
Elles sont plus larges chez les autres espèces, où le noir peut sembler visuellement dominant.
Certains spécimens peuvent aussi être brun foncé et blanc, ou le blanc peut être remplacé par une couleur sable.
Notons que les rayures sont spécifiques à chaque individu, comme nos empreintes digitales. Elles permettent aux individus de se reconnaître, un peu comme on lit un code-barre. Il existe d'ailleurs un logiciel qui permet aux photographes animaliers de les identifier.
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