Question d'origine :
Bonjour,
je voudrais savoir s'il est possible de se procurer le texte suivant :
poème d'Ibsen "Peer Gynt"
adaptation de Gerhard BUCHNER
traduction de Ulrike Jeanne
Je vous remercie pour votre aide.
Bien cordialement
S. DUBOIS
Réponse du Guichet
gds_ctp
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 16/05/2015 à 12h45
Bonjour,
Nos recherches ne nous ont pas permis de trouver l’intégralité du texte « Peer Gynt » adapté par Gerhard Buchner et traduit par Jeanne Ulrike.
Le texte a été reproduit partiellement sur le site Zictrad :
« Dans le grand nord, là où les montagnes escarpées laissent à peine passer un rayon de soleil dans les fjords étroits, où hurlent les loups pendant les longues nuits d’hiver et où d’étranges lueurs dansent à travers les forêts, pendant les nuits d’été, là se trouve le pays des trolls.
Les trolls règnent sur les montagnes et tourmentent les humains en leur jouant de vilains tours. Ils essaient par la ruse de transformer les hommes en leurs semblables. Et lorsque un être humain se comporte comme un troll, leur joie est à son comble. Alors, on entend leur rire retentissant résonner d’un rocher à l’autre.
Malheur à l’homme qui les rencontre. Rapidement, il sera leur proie et seul l’amour le plus fidèle pourra le sauver.
Dans ce pays des trolls vivait Peer Gynt. Il habitait seul avec sa mère Aase dans une petite ferme que son père leur avait laissée. Avec la ferme, leur père leur avait aussi laissé des dettes et dans le village on chuchotait qu’il avait été un demi-troll.
La mère Aase peinait à rembourser ces dettes toute seule. Car Peer ne s’occupait pas de la ferme. Il préférait vagabonder à travers les montagnes et les forêts et rêvait de devenir un homme célèbre.
Un jour, Peer revint de la chasse et prétendit qu’il avait traversé les airs à dos de renne pour faire la course avec les nuages.
« Peer, tu mens », dit sa mère, « quand seras-tu enfin raisonnable ? Tu as l’âge de te marier. Prends enfin une femme et aide-moi à la ferme. Prends Ingrid, elle travaille bien et elle est riche. »
Perr répondit en riant : « Ingrid se marie aujourd’hui, mais avec un autre homme ». « Ainsi c’est trop tard » soupirait la mère. « Et j’avais tellement espéré que toi et Ingrid… »
Peer l’interrompit, il avait soudain une idée. « Et après tout, pourquoi pas ? » dit-il. « Je vais aller la voir et je vais lui dire de m’épouser, moi. »
« Mais tu es complètement fou » cria la mère désespérée.
« Mais non » dit Peer, « qui sait chevaucher un renne dans les airs saura aussi faire changer d’avis à une fiancée. »
[…] »
Le texte se poursuit jusqu’à la scène III « Dans la caverne du roi de la montagne ». Les textes de « Dans le palais du roi de la montagne » et de « La chanson de Solveig » sont eux aussi disponibles.
Nos recherches dans différents catalogues de bibliothèque, nous ne ont pas permis de retrouver de trace de ce texte. Catalogues consultés : BnF, Sudoc, BMLyon… D’autres éditions sont disponibles mais pas celle que vous recherchez.
La seule piste valable est la maison d’édition Wieg and musik qui propose la partition et le texte avec les arrangements de Gerhard Buchner à l’achat mais le traducteur n’est pas précisé. Vous pouvez peut-être les interroger pour obtenir plus de détails.
Bonne journée.
Nos recherches ne nous ont pas permis de trouver l’intégralité du texte « Peer Gynt » adapté par Gerhard Buchner et traduit par Jeanne Ulrike.
Le texte a été reproduit partiellement sur le site Zictrad :
« Dans le grand nord, là où les montagnes escarpées laissent à peine passer un rayon de soleil dans les fjords étroits, où hurlent les loups pendant les longues nuits d’hiver et où d’étranges lueurs dansent à travers les forêts, pendant les nuits d’été, là se trouve le pays des trolls.
Les trolls règnent sur les montagnes et tourmentent les humains en leur jouant de vilains tours. Ils essaient par la ruse de transformer les hommes en leurs semblables. Et lorsque un être humain se comporte comme un troll, leur joie est à son comble. Alors, on entend leur rire retentissant résonner d’un rocher à l’autre.
Malheur à l’homme qui les rencontre. Rapidement, il sera leur proie et seul l’amour le plus fidèle pourra le sauver.
Dans ce pays des trolls vivait Peer Gynt. Il habitait seul avec sa mère Aase dans une petite ferme que son père leur avait laissée. Avec la ferme, leur père leur avait aussi laissé des dettes et dans le village on chuchotait qu’il avait été un demi-troll.
La mère Aase peinait à rembourser ces dettes toute seule. Car Peer ne s’occupait pas de la ferme. Il préférait vagabonder à travers les montagnes et les forêts et rêvait de devenir un homme célèbre.
Un jour, Peer revint de la chasse et prétendit qu’il avait traversé les airs à dos de renne pour faire la course avec les nuages.
« Peer, tu mens », dit sa mère, « quand seras-tu enfin raisonnable ? Tu as l’âge de te marier. Prends enfin une femme et aide-moi à la ferme. Prends Ingrid, elle travaille bien et elle est riche. »
Perr répondit en riant : « Ingrid se marie aujourd’hui, mais avec un autre homme ». « Ainsi c’est trop tard » soupirait la mère. « Et j’avais tellement espéré que toi et Ingrid… »
Peer l’interrompit, il avait soudain une idée. « Et après tout, pourquoi pas ? » dit-il. « Je vais aller la voir et je vais lui dire de m’épouser, moi. »
« Mais tu es complètement fou » cria la mère désespérée.
« Mais non » dit Peer, « qui sait chevaucher un renne dans les airs saura aussi faire changer d’avis à une fiancée. »
[…] »
Le texte se poursuit jusqu’à la scène III « Dans la caverne du roi de la montagne ». Les textes de « Dans le palais du roi de la montagne » et de « La chanson de Solveig » sont eux aussi disponibles.
Nos recherches dans différents catalogues de bibliothèque, nous ne ont pas permis de retrouver de trace de ce texte. Catalogues consultés : BnF, Sudoc, BMLyon… D’autres éditions sont disponibles mais pas celle que vous recherchez.
Bonne journée.
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