Question d'origine :
Bonjour,
j’ai lu à plusieurs reprises que des villes avaient miss en place des tours qui aspiraient la pollution et transformaient ceci en petits cubes.
Des expériences similaires sont -elles tentées en France ?
Il est bien entendu qu'il est préférables de traiter les causes.
Mais de le cas d'une installation quel est le budget nécessaire. sachant que dans de nombreuses villes cela provoque des décès prématurés.
On parle souvent de pollution automobile comme un des facteurs les plus important,Pour Lyon la proximité du couloir de la chimie même si des améliorations sont constatées .
Chacun peut se rendre compte en arrivant par le sud que le problème reste entier. Quid du futur ?
Il existe des applicatifs de détection de pollution, sont-ils fiables en fonction de leur localisation ?
Merci pour vos réponses toujours pertinentes et si cela peut faire avancer le débat.
Réponse du Guichet
gds_db
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 25/07/2016 à 13h36
Bonjour,
En septembre [2015], Daan Roosegaarde lançait son « Smog Free Project » à Rotterdam. L’architecte hollandais a créé, avec son équipe d’experts, le plus grand aspirateur de smog.
Un vortex d’air pur à 75 %
Rectangle de 7m de haut sur 3,5m de large, la tour de Daan Roosegaarde nettoie 30.000m³ d’air par heure. Elle n’utilise pas plus d’électricité qu’une bouilloire et fonctionne à l’énergie verte. Sous terre, un dispositif électromagnétique attire les particules fines lourdes.
La poussière plus légère elle est expulsée à 15km au-dessus de la tour. Une bulle d’air pur à 75 % est alors créée autour de cette Smog Tower.
Daan Roosegaarde est en réalité le designer de ce projet, mais pas l’inventeur du système. Le projet s’inspire du dispositif de Bob Ursem, appelé « Suppression de matière particulaire » et déjà testé dans certains tunnels ou hôpitaux à Rotterdam.
Selon ce dernier, Daan Roosegaarde est « un penseur de la technologie appliquée » et son approche permet d’attirer l’attention du grand public sur le problème du smog et sur l’urgence de s’y atteler.
©Roosegaarde
[...]
Tour du monde pour la tour
« Nous savons tous comment faire pour avoir une ville propre. Mais ça prend trop longtemps. Ce qu’il nous faut, c’est une prise de conscience. Nous devons tous respirer la différence » explique Daan Roosegaarde.
C’est pour cela que l’architecte fait voyager sa tour à travers le monde : faire respirer de l’air pur aux habitants des grandes villes, afin qu’ils prennent conscience qu’une réaction immédiate est nécessaire. Contre une commission au Studio Roosegaarde, des villes comme Paris, Mexico City, Los Angeles, Sao Paulo ou Shangai verront cet objet architectural bizarre se poser pour quelque temps dans leur parc.
Diamant de pollution
Dans un but marketing donc, Daan Roosegaarde a inventé les « Smog Diamonds ». Ils sont réalisés à partir des particules fines récoltées sur les ailerons de la tour. Compressée à l’aide d’une presse manuelle, puis enveloppée dans une résine transparente, la suie polluante devient un bijou.
©Roosegaarde
source : Il transforme la pollution en diamants / Sandra Cools (St.) - Le Soir - lundi 14 mars 2016
* Maintenant que le prototype a fait ses preuves en Europe, une première installation va débuter cet été dans l'un des pays les plus pollués, la Chine. De retour sur les traces de son inspiration, l'artiste souhaite offrir à la population un espace de vie plus sain mais surtout plus conscient. En effet, il affirme que son dispositif est autant un filtre qu'un rappel constant des efforts à fournir pour réduire la pollution de notre planète et dont les bagues sont un symbole. En effet, même si l'efficacité du processus est prouvée il ne peut fournir un air de bonne qualité si la production de pollution alentour ne diminue jamais. En pourparler dans de nombreux pays comme le Mexique, les États-Unis ou la France, la Smog Free Tower pourrait bientôt débarquer pour améliorer notre air au quotidien. "Je ne prétends pas fournir la solution mais une solution tangible de ce que pourrait être un futur propre. Il faut que les gens deviennent une partie de la solution au lieu d'être le problème", justifie l'artiste. L'équipe espère ainsi convaincre les citoyens de la nécessité de dépolluer l'air.
source : Smog Free Tower, l'étonnante tour qui aspire la pollution et fabrique des bijoux avec art / Estelle Lemaitre - Maxisciences - 11 juillet 2016
* Ce projet a bénéficié d'une campagne de financement participatif sur Kickstarter : description du projet.
D'après le Guardian, son créateur ne souhaite pas divulguer le coût d'une tour mais les filtres qu'il a développés pourraient varier entre 1600 € à plus de 118 000 €.
source : World's first smog filtering tower goes on tour
Autres articles sur le sujet :
- Smog Free Tower, l'étonnante tour qui aspire la pollution et fabrique des bijoux avec art
- Pays-Bas : Un purificateur d’air géant en plein centre de Rotterdam
- Dépolluer l’air et en faire des bijoux!
- Cette tour nettoie l'air pollué des villes
Vous pouvez aussi consulter le site officiel et poser directement vos questions à l'artiste : contact.
* Nous ne comprenons pas vraiment l'objet de votre troisième question... Voici quelques articles, qui, nous l'espérons, devraient satisfaire votre curiosité sur l'état et le traitement de la pollution dans villes dans le futur :
- Chronique du futur : les projets pour les villes de demain / Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences - 25/03/2014
- Futur : objectif air pur / Emmanuelle Vibert - le Parisien - 24 avril 2014
- À quoi ressemblera la ville de demain ? / Émeline Ferard - Maxisciences - 28 juillet 2012
- Urbanisme : cap sur la ville de demain / William Martin-Genier - Les Échos - Le 04/11/2014
- Des trottoirs qui nettoient l'air pour lutter contre la pollution en ville / Slate.fr - 09.07.2013
- Londres veut clouer au sol la pollution / Audrey Chauvet - 20 minutes - 24.01.2012
Quelques autres documents sur le sujet :
- Atlas des villes durables : écologie, urbanisme, société : l'Europe est-elle un modèle ? / dirigé par Yvette Veyret et Renaud Le Goix
- Ville et environnement / sous la dir. de Elisabeth Dorier-Apprill
- Manifeste pour la ville biodiversitaire : changer pour un urbanisme inventif, écologique et adaptatif / Philippe Clergeau
- Aménager les paysages de l'après-pétrole / Régis Ambroise, Odile Marcel
- Manifeste pour la ville biodiversitaire : changer pour un urbanisme inventif, écologique et adaptatif / Philippe Clergeau
- La ville durable, du politique au scientifique / Nicole Mathieu et Yves Guermond, éditeurs scientifiques; préface Jean-Marie Legay
- L'urbanisme durable : Concevoir un écoquartier / Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin
- Vers un nouveau mode de ville / Stéphanie Lemoine, Vidal Benchimol
- Irrespirable : des villes au bord de l'asphyxie [D.V.D.] / réal. de Delphine Prunault
- Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ? (Enjeux) / Rapport d'information de M. Jean-Pierre SUEUR, fait au nom de la Délégation sénatoriale à la prospective - n° 594 tome I (2010-2011) - 9 juin 2011
plus de livres
* Concernant votre dernière question, le site du ministère de l'Environnement présente Le dispositif de surveillance de la qualité de l’air en France :
Les outils de surveillance
La surveillance de la qualité de l’air est assurée en 2013 par près de 650 stations fixes de mesure implantées en majeure partie dans des zones urbaines ou industrielles. Ces stations sont équipées d’instruments de mesure automatiques et peuvent aussi comporter des préleveurs pour le suivi de polluants nécessitant des analyses en laboratoire. Sur les zones, dont le niveau de pollution ne justifie pas la présence de stations fixes, ou pour procéder à des études, la surveillance peut être menée au moyen de campagnes de mesure faisant appel à des camions laboratoires ou d'autres moyens d’investigation. Par ailleurs, les Mines de Douai assurent la coordination du dispositif de mesure et d’évaluation en zone rurale de la pollution atmosphérique à longue distance (Mera). En 2014, ce dispositif compte 13 sites gérés par les Aasqa.
En complément des mesures de terrain, la surveillance fait de plus en plus appel à des outils numériques pour modéliser la distribution spatiale de la pollution et prévoir la qualité de l’air sur les jours à venir. Ainsi, le système national de prévision et de cartographie de la qualité de l’air PREV’AIR fonctionne de manière opérationnelle depuis 2004. Il fournit quotidiennement des prévisions de la qualité de l’air à l’échelle nationale et européenne. Il repose sur l’usage combiné de simulations numériques et d’observations. Au niveau national, il intègre donc les données d’observation des Aasqa. Afin de caractériser l’exposition des populations à une échelle plus fine, les Aasqa mettent en œuvre des modèles validés de prévision régionaux.
Les typologies des stations fixes de mesure
Les stations de fond urbain : stations mesurant l’exposition moyenne de la population à la pollution atmosphérique de « fond » dans les centres urbains et à leurs périphéries.
Les stations de fond rural : stations implantées dans des zones rurales et mesurant l’exposition des cultures, des écosystèmes naturels et de la population à la pollution atmosphérique de « fond », notamment photochimique.
Les stations situées à proximité du trafic routier : stations implantées dans des zones représentatives des niveaux de concentrations les plus élevés auxquels la population située à proximité d’une infrastructure routière est susceptible d’être exposée.
Les stations situées à proximité d’industries : stations implantées dans des zones représentatives des niveaux de concentrations les plus élevés auxquels la population riveraine d’une source fixe est susceptible d’être exposée, par des phénomènes de panache ou d’accumulation.
Les stations d’observation spécifique : stations répondant à des besoins spécifiques, tels que l’aide à la modélisation ou la prévision.
Lire aussi le site du Laboratoire centra de surveillance de la qualité de l'air.
Il existe aussi des détecteurs à positionner dans les zones à risques (Détection en temps réel des polluants dans le cadre de la santé et sécurité au travail), à l'intérieur du domicile et même dans votre poche pour mesurer la qualité de l'air où que vous soyez !
A consulter :
- Pollution: des capteurs de poche pour tester l'air que l'on respire
- Un capteur de pollution à glisser dans la poche.
Bonne lecture.
En septembre [2015], Daan Roosegaarde lançait son « Smog Free Project » à Rotterdam. L’architecte hollandais a créé, avec son équipe d’experts, le plus grand aspirateur de smog.
Rectangle de 7m de haut sur 3,5m de large, la tour de Daan Roosegaarde nettoie 30.000m³ d’air par heure. Elle n’utilise pas plus d’électricité qu’une bouilloire et fonctionne à l’énergie verte. Sous terre, un dispositif électromagnétique attire les particules fines lourdes.
La poussière plus légère elle est expulsée à 15km au-dessus de la tour. Une bulle d’air pur à 75 % est alors créée autour de cette Smog Tower.
Daan Roosegaarde est en réalité le designer de ce projet, mais pas l’inventeur du système. Le projet s’inspire du dispositif de Bob Ursem, appelé « Suppression de matière particulaire » et déjà testé dans certains tunnels ou hôpitaux à Rotterdam.
Selon ce dernier, Daan Roosegaarde est « un penseur de la technologie appliquée » et son approche permet d’attirer l’attention du grand public sur le problème du smog et sur l’urgence de s’y atteler.
©Roosegaarde
[...]
« Nous savons tous comment faire pour avoir une ville propre. Mais ça prend trop longtemps. Ce qu’il nous faut, c’est une prise de conscience. Nous devons tous respirer la différence » explique Daan Roosegaarde.
C’est pour cela que l’architecte fait voyager sa tour à travers le monde : faire respirer de l’air pur aux habitants des grandes villes, afin qu’ils prennent conscience qu’une réaction immédiate est nécessaire. Contre une commission au Studio Roosegaarde, des villes comme Paris, Mexico City, Los Angeles, Sao Paulo ou Shangai verront cet objet architectural bizarre se poser pour quelque temps dans leur parc.
Dans un but marketing donc, Daan Roosegaarde a inventé les « Smog Diamonds ». Ils sont réalisés à partir des particules fines récoltées sur les ailerons de la tour. Compressée à l’aide d’une presse manuelle, puis enveloppée dans une résine transparente, la suie polluante devient un bijou.
©Roosegaarde
source : Il transforme la pollution en diamants / Sandra Cools (St.) - Le Soir - lundi 14 mars 2016
* Maintenant que le prototype a fait ses preuves en Europe, une première installation va débuter cet été dans l'un des pays les plus pollués, la Chine. De retour sur les traces de son inspiration, l'artiste souhaite offrir à la population un espace de vie plus sain mais surtout plus conscient. En effet, il affirme que son dispositif est autant un filtre qu'un rappel constant des efforts à fournir pour réduire la pollution de notre planète et dont les bagues sont un symbole. En effet, même si l'efficacité du processus est prouvée il ne peut fournir un air de bonne qualité si la production de pollution alentour ne diminue jamais. En pourparler dans de nombreux pays comme le Mexique, les États-Unis ou la France, la Smog Free Tower pourrait bientôt débarquer pour améliorer notre air au quotidien. "Je ne prétends pas fournir la solution mais une solution tangible de ce que pourrait être un futur propre. Il faut que les gens deviennent une partie de la solution au lieu d'être le problème", justifie l'artiste. L'équipe espère ainsi convaincre les citoyens de la nécessité de dépolluer l'air.
source : Smog Free Tower, l'étonnante tour qui aspire la pollution et fabrique des bijoux avec art / Estelle Lemaitre - Maxisciences - 11 juillet 2016
* Ce projet a bénéficié d'une campagne de financement participatif sur Kickstarter : description du projet.
D'après le Guardian, son créateur ne souhaite pas divulguer le coût d'une tour mais les filtres qu'il a développés pourraient varier entre 1600 € à plus de 118 000 €.
source : World's first smog filtering tower goes on tour
Autres articles sur le sujet :
- Smog Free Tower, l'étonnante tour qui aspire la pollution et fabrique des bijoux avec art
- Pays-Bas : Un purificateur d’air géant en plein centre de Rotterdam
- Dépolluer l’air et en faire des bijoux!
- Cette tour nettoie l'air pollué des villes
Vous pouvez aussi consulter le site officiel et poser directement vos questions à l'artiste : contact.
* Nous ne comprenons pas vraiment l'objet de votre troisième question... Voici quelques articles, qui, nous l'espérons, devraient satisfaire votre curiosité sur l'état et le traitement de la pollution dans villes dans le futur :
- Chronique du futur : les projets pour les villes de demain / Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences - 25/03/2014
- Futur : objectif air pur / Emmanuelle Vibert - le Parisien - 24 avril 2014
- À quoi ressemblera la ville de demain ? / Émeline Ferard - Maxisciences - 28 juillet 2012
- Urbanisme : cap sur la ville de demain / William Martin-Genier - Les Échos - Le 04/11/2014
- Des trottoirs qui nettoient l'air pour lutter contre la pollution en ville / Slate.fr - 09.07.2013
- Londres veut clouer au sol la pollution / Audrey Chauvet - 20 minutes - 24.01.2012
Quelques autres documents sur le sujet :
- Atlas des villes durables : écologie, urbanisme, société : l'Europe est-elle un modèle ? / dirigé par Yvette Veyret et Renaud Le Goix
- Ville et environnement / sous la dir. de Elisabeth Dorier-Apprill
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- Aménager les paysages de l'après-pétrole / Régis Ambroise, Odile Marcel
- Manifeste pour la ville biodiversitaire : changer pour un urbanisme inventif, écologique et adaptatif / Philippe Clergeau
- La ville durable, du politique au scientifique / Nicole Mathieu et Yves Guermond, éditeurs scientifiques; préface Jean-Marie Legay
- L'urbanisme durable : Concevoir un écoquartier / Catherine Charlot-Valdieu et Philippe Outrequin
- Vers un nouveau mode de ville / Stéphanie Lemoine, Vidal Benchimol
- Irrespirable : des villes au bord de l'asphyxie [D.V.D.] / réal. de Delphine Prunault
- Villes du futur, futur des villes : quel avenir pour les villes du monde ? (Enjeux) / Rapport d'information de M. Jean-Pierre SUEUR, fait au nom de la Délégation sénatoriale à la prospective - n° 594 tome I (2010-2011) - 9 juin 2011
plus de livres
* Concernant votre dernière question, le site du ministère de l'Environnement présente Le dispositif de surveillance de la qualité de l’air en France :
La surveillance de la qualité de l’air est assurée en 2013 par près de 650 stations fixes de mesure implantées en majeure partie dans des zones urbaines ou industrielles. Ces stations sont équipées d’instruments de mesure automatiques et peuvent aussi comporter des préleveurs pour le suivi de polluants nécessitant des analyses en laboratoire. Sur les zones, dont le niveau de pollution ne justifie pas la présence de stations fixes, ou pour procéder à des études, la surveillance peut être menée au moyen de campagnes de mesure faisant appel à des camions laboratoires ou d'autres moyens d’investigation. Par ailleurs, les Mines de Douai assurent la coordination du dispositif de mesure et d’évaluation en zone rurale de la pollution atmosphérique à longue distance (Mera). En 2014, ce dispositif compte 13 sites gérés par les Aasqa.
En complément des mesures de terrain, la surveillance fait de plus en plus appel à des outils numériques pour modéliser la distribution spatiale de la pollution et prévoir la qualité de l’air sur les jours à venir. Ainsi, le système national de prévision et de cartographie de la qualité de l’air PREV’AIR fonctionne de manière opérationnelle depuis 2004. Il fournit quotidiennement des prévisions de la qualité de l’air à l’échelle nationale et européenne. Il repose sur l’usage combiné de simulations numériques et d’observations. Au niveau national, il intègre donc les données d’observation des Aasqa. Afin de caractériser l’exposition des populations à une échelle plus fine, les Aasqa mettent en œuvre des modèles validés de prévision régionaux.
Les stations de fond urbain : stations mesurant l’exposition moyenne de la population à la pollution atmosphérique de « fond » dans les centres urbains et à leurs périphéries.
Les stations de fond rural : stations implantées dans des zones rurales et mesurant l’exposition des cultures, des écosystèmes naturels et de la population à la pollution atmosphérique de « fond », notamment photochimique.
Les stations situées à proximité du trafic routier : stations implantées dans des zones représentatives des niveaux de concentrations les plus élevés auxquels la population située à proximité d’une infrastructure routière est susceptible d’être exposée.
Les stations situées à proximité d’industries : stations implantées dans des zones représentatives des niveaux de concentrations les plus élevés auxquels la population riveraine d’une source fixe est susceptible d’être exposée, par des phénomènes de panache ou d’accumulation.
Les stations d’observation spécifique : stations répondant à des besoins spécifiques, tels que l’aide à la modélisation ou la prévision.
Lire aussi le site du Laboratoire centra de surveillance de la qualité de l'air.
Il existe aussi des détecteurs à positionner dans les zones à risques (Détection en temps réel des polluants dans le cadre de la santé et sécurité au travail), à l'intérieur du domicile et même dans votre poche pour mesurer la qualité de l'air où que vous soyez !
A consulter :
- Pollution: des capteurs de poche pour tester l'air que l'on respire
- Un capteur de pollution à glisser dans la poche.
Bonne lecture.
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