Question d'origine :
Bonjour,
Existe-t-il un comparatif récent entre les services Google Traduction, DeepL Traducteur et Systran Translate, svp ? Je souhaiterais connaître les points forts et points faibles de chacun de ses services, telles que :
- qualité de traduction par paires de langues
- nombre de paires de langues
- traduction de pages web
- traduction de fichiers sans déformation de la mise en forme / mise en page
- ouverture du code source
- limite de caractères
- ancienneté
- méthode(s) utilisée(s)
- possibilité d'indiquer la meilleure traduction selon l'utilisateur (pour améliorer le service par "crowdsourcing")
- etc.
Un comparatif prenant en compte ce genre de critères.
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 04/11/2019 à 09h34
Bonjour,
Il n’existe pas, à notre connaissance, d’articles ou d’études proposant une analyse aussi fine des divers outils de traduction et il faudra vous contenter des comparatifs publiés dans la presse.
Ainsi, en 2017, Davie Larousserie et Damien Leloup dans Le Monde revenait sur la problématique Quel est le meilleur service de traduction en ligne ? et testaient cinq services, DeepL, les services de traduction de Google, Bing, Yandex et Baidu à travers des traductions de diverses sortes : la poésie, la documentation technique, les articles de presse, les comptes rnedus sportifs ou autres textes. Nous vous laissons lire leur compte rendu même s’il apparaît que Deepl arrive en tête.
Dans Le Temps en date du 5 mars 2018, Deepl est également cité comme le meilleur traductuer automatique :
« Lancé en 2017, DeepL Translator est un système de traduction automatique basé sur l'intelligence artificielle, capable de fournir des traductions tout en identifiant les nuances de langage les plus subtiles. A l'heure actuelle, il est disponible gratuitement sur DeepL.com et fonctionne en français, anglais, allemand, espagnol, italien, polonais et néerlandais.
(…) . C'est un des outils les plus utiles et les populaires du Web, car plutôt que de traduire un mot par son équivalent comme le ferait un dictionnaire, Linguee propose le mot dans son contexte, en indiquant une série d'exemples où le mot a été utilisé.
Linguee a donc servi de matériel d'entraînement au réseau neuronal de traduction de DeepL, qui fonctionne sur un superordinateur situé en Islande. Celui-ci est doté d'une puissance de calcul capable d'effectuer 5 100 000 000 000 000 opérations par seconde, ce qui est suffisamment puissant pour traduire un million de mots en moins d'une seconde. Pour l'utilisateur qui copie et colle un texte dans un champ, cela résulte en une traduction de qualité, immédiate.
Comment DeepL fait-il la différence avec Google Translate et Bing? Comparés côte à côte, certains paragraphes sont quasiment identiques. Mais là où les phrases sont interprétées différemment, celles de DeepL sont souvent plus justes.
Un fait confirmé par des traducteurs professionnels qui, lors de tests à l'aveugle opposant DeepL à ses concurrents, ont accordé trois fois plus souvent leur préférence à DeepL ».
Dans 20 Minutes, Laure Beaudonnet le 10 octobre 2018, revient sur une expérience menée par Deepl et titre : « «Deep learning»: L'homme prend sa première grosse raclée par la machine en matière de traduction » :
« DeepL, qui a doublé tout le monde en matière de traduction grâce au deep learning (la boucle est bouclée), s'imposait comme le parfait complice pour Quantmetry. « Son outil a un niveau de performance beaucoup plus fort que les solutions grand public du type Google Translate ou Bing Microsoft Translator qui font du mot à mot sur des phrases courtes », insiste Alexandre Stora. La start-up allemande, derrière Linguee, a nourri son intelligence artificielle d'un corpus de textes parfaitement traduits par l'homme : des textes de loi internationaux, des romans libres de droits... La machine cherche des équivalences, replace dans un contexte, elle produit du sens ».
De même, dans Le Figaro du 12 Mars 2018, Didier Sanz rapporte que :
« Aussi bien Google Traduction que DeepL ont remarquablement restitué un passage du Parfum de la dame en noir , de Gaston Leroux, qu'ils ont d'abord traduit vers l'anglais puis retraduit en français. À quelques détails près ( « terrible » ou « affreux » à la place d' « effroyable » , par exemple), on retrouve pratiquement toutes les expressions de l'auteur. En ce qui concerne les phrases courantes, les résultats sont plus mitigés. Confronté à « He swims across the river » , Google traduit par « Il nage à travers la rivière » , alors que DeepL propose plus convenablement « Il traverse la rivière à la nage » . Ce dernier marque aussi des points en traduisant « This is not a good time for us to talk » par « Ce n'est pas le bon moment pour parler » quand Google s'embrouille avec « Ce n'est pas un bon moment pour nous de parler » . Et DeepL l'emporte encore en traduisant « I am heading to tennis practice » par « Je vais à l'entraînement de tennis » , alors que Google se satisfait de « Je vais à la pratique du tennis » .
En espagnol, les deux traducteurs ont quelques difficultés avec des phrases courantes. Quand on leur soumet « Son las cuatro menos cinco » ( « Il est quatre heures moins cinq » ), Google propose « Il est quatre à cinq » , tandis que DeepL préfère « C'est cinq contre quatre » ... Une phrase un peu épineuse de Jorge Luis Borges ne les départage pas plus : « Uno no es lo que es por lo que escribe, sino por lo que ha leido » , qu'on peut traduire par « On n'est pas ce qu'on est par ce qu'on écrit, mais par ce qu'on a lu » , devient, avec Google, « L'un n'est pas ce qu'il est par ce qu'il écrit, mais par ce qu'il a lu » et, avec DeepL, « L'un n'est pas ce qu'il écrit, mais ce qu'il a lu » . Enfin, DeepL montre encore sa supériorité dans le test littéraire, restituant correctement le passage de Gaston Leroux après traduction en espagnol, tandis que Google peine sur la structure des phrases et confond certains mots avec d'autres, ce qui complique la lecture.
Pour l'instant, DeepL se limite à une demi-douzaine de langues (français, anglais, allemand, espagnol, italien, néerlandais, polonais), alors que Google en propose une bonne centaine, de l'afrikaan au zoulou, en passant par le bengali, le créole haïtien, le hongrois et le tamoul. Google Traduction peut également énoncer le texte dans la langue souhaitée, ce que ne propose par DeepL. Du fait de leur conception, les deux services vont inévitablement évoluer et devraient s'approcher de plus en plus des traductions humaines. La barrière de la langue ne sera bientôt plus un obstacle ».
Plus récemment, Stefano Lupieri a consacré dans Les Echos du 1 mars 2019, un article sur «La traduction automatique fait des pas de géant » dans lequel il indique :
« Cette nouvelle avancée dans la traduction automatique témoigne de l'effervescence qui agite ce secteur depuis environ deux ans, en fait depuis qu'on est parvenu à appliquer les modèles de l'intelligence artificielle, inspirée du fonctionnement du cerveau humain, à la traduction de texte. La technique baptisée NMT ( Neural Machine Translation , traduction automatique neuronale) a fait faire un bond de géant à la qualité du rendu. Tous ceux qui avaient renoncé à Google Translate, à cause de ses contresens et ses incohérences parfois cocasses, seraient surpris. Bien qu'encore imparfaite, la traduction proposée est désormais beaucoup plus fluide.
Lors d'un test réalisé en mars dernier par les équipes de Microsoft sur des extraits de journaux traduits du chinois vers l'anglais, la « machine » a même réussi à égaler l'humain. De quoi faire fantasmer tous ceux qui veulent en finir avec l'apprentissage des langues. D'autant que, couplés aux avancées de la reconnaissance vocale, ces nouveaux modèles ont favorisé l'émergence de différents dispositifs d'oreillettes à brancher sur son smartphone pour des conversations orales (voir encadré p. 26). Ces progrès sont aussi l'occasion, pour les entreprises qui dépensent beaucoup en traduction, de faire de substantielles économies.
Dans 01 net en date du 15 mai 2019, « Allons faire un tour à Babel web », un bref comparatif est proposé :
« Qualité de la traduction
Quel que soit le type de texte que vous lui soumettez, DeepL (capture) atteint le sans-faute. Il gomme même certaines répétitions en employant des synonymes pour rendre le résultat plus agréable à lire. Yandex Translate le suit de près au niveau de la qualité. Nous avons toutefois rencontré quelques problèmes sur certains mots techniques, qui restaient en VO. Les autres outils testés livrent des versions correctes, car compréhensibles. On y relève quand même, au milieu de phrases rédigées norma lement, des expressions déchiffrées mot à mot, par exemple « signe dehors » pour « sign out », au lieu de « se déconnecter ».
3 Applications mobiles
Si l'appli de Reverso ne gère que les mots et les phrases courtes, celles de Google (capture), Microsoft et Yandex tirent parti du micro de votre smartphone pour jouer les interprètes entre vous et un interlocuteur étranger. Pratique pour des échanges basiques, en voyage par exemple. La fonction la plus bluffante, même si elle doit encore progresser, est la traduction d'un texte photographié à l'aide de votre portable. L'identification de la langue source demeure le seul souci. Dommage que Systran Pure Neural MT et DeepL fassent l'impasse sur la mise au point d'un outil mobile, sachant que le second livre les meilleures traductions de tous.
VAINQUEUR Yandex Translate
Malgré des retranscriptions légèrement moins fièles que celles de DeepL (à qui l'absence d'application mobile coûte cher), Yandex Translate s'empare de la première place. Il doit sa note au nombre de langues disponibles, à sa prise en charge d'écrits allant jusqu'à 10 000 caractères et à son appli de très bonne facture. Peu de ratés et aucun contresens dans notre test en anglais, juste quelques répétitions maladroites et les termes inconnus reproduits tels quels dans la rédaction fiale.
Sur mobile, le traitement vocal se montre très réactif. On regrettera juste l'accent robotique flgrant, mais ce défaut est présent aussi chez ses concurrents. Sa traduction de texte à partir d'une image s'approche du zéro faute. La conversion du russe (langue de l'éditeur de Yandex) et du japonais écrits nous a impressionnés. Les meilleures performances seront obtenues en Wifi ou en 4G car, une fois hors connexion, l'appli ne peut compter que sur son petit dictionnaire embarqué ».
Nous vous laissons aussi consulter les articles publiés sur :
futura-sciences.com neozone.org
leportagesalarial.fr
codeur.com
Il n’existe pas, à notre connaissance, d’articles ou d’études proposant une analyse aussi fine des divers outils de traduction et il faudra vous contenter des comparatifs publiés dans la presse.
Ainsi, en 2017, Davie Larousserie et Damien Leloup dans Le Monde revenait sur la problématique Quel est le meilleur service de traduction en ligne ? et testaient cinq services, DeepL, les services de traduction de Google, Bing, Yandex et Baidu à travers des traductions de diverses sortes : la poésie, la documentation technique, les articles de presse, les comptes rnedus sportifs ou autres textes. Nous vous laissons lire leur compte rendu même s’il apparaît que Deepl arrive en tête.
Dans Le Temps en date du 5 mars 2018, Deepl est également cité comme le meilleur traductuer automatique :
« Lancé en 2017, DeepL Translator est un système de traduction automatique basé sur l'intelligence artificielle, capable de fournir des traductions tout en identifiant les nuances de langage les plus subtiles. A l'heure actuelle, il est disponible gratuitement sur DeepL.com et fonctionne en français, anglais, allemand, espagnol, italien, polonais et néerlandais.
(…) . C'est un des outils les plus utiles et les populaires du Web, car plutôt que de traduire un mot par son équivalent comme le ferait un dictionnaire, Linguee propose le mot dans son contexte, en indiquant une série d'exemples où le mot a été utilisé.
Linguee a donc servi de matériel d'entraînement au réseau neuronal de traduction de DeepL, qui fonctionne sur un superordinateur situé en Islande. Celui-ci est doté d'une puissance de calcul capable d'effectuer 5 100 000 000 000 000 opérations par seconde, ce qui est suffisamment puissant pour traduire un million de mots en moins d'une seconde. Pour l'utilisateur qui copie et colle un texte dans un champ, cela résulte en une traduction de qualité, immédiate.
Comment DeepL fait-il la différence avec Google Translate et Bing? Comparés côte à côte, certains paragraphes sont quasiment identiques. Mais là où les phrases sont interprétées différemment, celles de DeepL sont souvent plus justes.
Un fait confirmé par des traducteurs professionnels qui, lors de tests à l'aveugle opposant DeepL à ses concurrents, ont accordé trois fois plus souvent leur préférence à DeepL ».
Dans 20 Minutes, Laure Beaudonnet le 10 octobre 2018, revient sur une expérience menée par Deepl et titre : « «Deep learning»: L'homme prend sa première grosse raclée par la machine en matière de traduction » :
« DeepL, qui a doublé tout le monde en matière de traduction grâce au deep learning (la boucle est bouclée), s'imposait comme le parfait complice pour Quantmetry. « Son outil a un niveau de performance beaucoup plus fort que les solutions grand public du type Google Translate ou Bing Microsoft Translator qui font du mot à mot sur des phrases courtes », insiste Alexandre Stora. La start-up allemande, derrière Linguee, a nourri son intelligence artificielle d'un corpus de textes parfaitement traduits par l'homme : des textes de loi internationaux, des romans libres de droits... La machine cherche des équivalences, replace dans un contexte, elle produit du sens ».
De même, dans Le Figaro du 12 Mars 2018, Didier Sanz rapporte que :
« Aussi bien Google Traduction que DeepL ont remarquablement restitué un passage du Parfum de la dame en noir , de Gaston Leroux, qu'ils ont d'abord traduit vers l'anglais puis retraduit en français. À quelques détails près ( « terrible » ou « affreux » à la place d' « effroyable » , par exemple), on retrouve pratiquement toutes les expressions de l'auteur. En ce qui concerne les phrases courantes, les résultats sont plus mitigés. Confronté à « He swims across the river » , Google traduit par « Il nage à travers la rivière » , alors que DeepL propose plus convenablement « Il traverse la rivière à la nage » . Ce dernier marque aussi des points en traduisant « This is not a good time for us to talk » par « Ce n'est pas le bon moment pour parler » quand Google s'embrouille avec « Ce n'est pas un bon moment pour nous de parler » . Et DeepL l'emporte encore en traduisant « I am heading to tennis practice » par « Je vais à l'entraînement de tennis » , alors que Google se satisfait de « Je vais à la pratique du tennis » .
En espagnol, les deux traducteurs ont quelques difficultés avec des phrases courantes. Quand on leur soumet « Son las cuatro menos cinco » ( « Il est quatre heures moins cinq » ), Google propose « Il est quatre à cinq » , tandis que DeepL préfère « C'est cinq contre quatre » ... Une phrase un peu épineuse de Jorge Luis Borges ne les départage pas plus : « Uno no es lo que es por lo que escribe, sino por lo que ha leido » , qu'on peut traduire par « On n'est pas ce qu'on est par ce qu'on écrit, mais par ce qu'on a lu » , devient, avec Google, « L'un n'est pas ce qu'il est par ce qu'il écrit, mais par ce qu'il a lu » et, avec DeepL, « L'un n'est pas ce qu'il écrit, mais ce qu'il a lu » . Enfin, DeepL montre encore sa supériorité dans le test littéraire, restituant correctement le passage de Gaston Leroux après traduction en espagnol, tandis que Google peine sur la structure des phrases et confond certains mots avec d'autres, ce qui complique la lecture.
Pour l'instant, DeepL se limite à une demi-douzaine de langues (français, anglais, allemand, espagnol, italien, néerlandais, polonais), alors que Google en propose une bonne centaine, de l'afrikaan au zoulou, en passant par le bengali, le créole haïtien, le hongrois et le tamoul. Google Traduction peut également énoncer le texte dans la langue souhaitée, ce que ne propose par DeepL. Du fait de leur conception, les deux services vont inévitablement évoluer et devraient s'approcher de plus en plus des traductions humaines. La barrière de la langue ne sera bientôt plus un obstacle ».
Plus récemment, Stefano Lupieri a consacré dans Les Echos du 1 mars 2019, un article sur «La traduction automatique fait des pas de géant » dans lequel il indique :
« Cette nouvelle avancée dans la traduction automatique témoigne de l'effervescence qui agite ce secteur depuis environ deux ans, en fait depuis qu'on est parvenu à appliquer les modèles de l'intelligence artificielle, inspirée du fonctionnement du cerveau humain, à la traduction de texte. La technique baptisée NMT ( Neural Machine Translation , traduction automatique neuronale) a fait faire un bond de géant à la qualité du rendu. Tous ceux qui avaient renoncé à Google Translate, à cause de ses contresens et ses incohérences parfois cocasses, seraient surpris. Bien qu'encore imparfaite, la traduction proposée est désormais beaucoup plus fluide.
Lors d'un test réalisé en mars dernier par les équipes de Microsoft sur des extraits de journaux traduits du chinois vers l'anglais, la « machine » a même réussi à égaler l'humain. De quoi faire fantasmer tous ceux qui veulent en finir avec l'apprentissage des langues. D'autant que, couplés aux avancées de la reconnaissance vocale, ces nouveaux modèles ont favorisé l'émergence de différents dispositifs d'oreillettes à brancher sur son smartphone pour des conversations orales (voir encadré p. 26). Ces progrès sont aussi l'occasion, pour les entreprises qui dépensent beaucoup en traduction, de faire de substantielles économies.
Dans 01 net en date du 15 mai 2019, « Allons faire un tour à Babel web », un bref comparatif est proposé :
« Qualité de la traduction
Quel que soit le type de texte que vous lui soumettez, DeepL (capture) atteint le sans-faute. Il gomme même certaines répétitions en employant des synonymes pour rendre le résultat plus agréable à lire. Yandex Translate le suit de près au niveau de la qualité. Nous avons toutefois rencontré quelques problèmes sur certains mots techniques, qui restaient en VO. Les autres outils testés livrent des versions correctes, car compréhensibles. On y relève quand même, au milieu de phrases rédigées norma lement, des expressions déchiffrées mot à mot, par exemple « signe dehors » pour « sign out », au lieu de « se déconnecter ».
3 Applications mobiles
Si l'appli de Reverso ne gère que les mots et les phrases courtes, celles de Google (capture), Microsoft et Yandex tirent parti du micro de votre smartphone pour jouer les interprètes entre vous et un interlocuteur étranger. Pratique pour des échanges basiques, en voyage par exemple. La fonction la plus bluffante, même si elle doit encore progresser, est la traduction d'un texte photographié à l'aide de votre portable. L'identification de la langue source demeure le seul souci. Dommage que Systran Pure Neural MT et DeepL fassent l'impasse sur la mise au point d'un outil mobile, sachant que le second livre les meilleures traductions de tous.
VAINQUEUR Yandex Translate
Malgré des retranscriptions légèrement moins fièles que celles de DeepL (à qui l'absence d'application mobile coûte cher), Yandex Translate s'empare de la première place. Il doit sa note au nombre de langues disponibles, à sa prise en charge d'écrits allant jusqu'à 10 000 caractères et à son appli de très bonne facture. Peu de ratés et aucun contresens dans notre test en anglais, juste quelques répétitions maladroites et les termes inconnus reproduits tels quels dans la rédaction fiale.
Sur mobile, le traitement vocal se montre très réactif. On regrettera juste l'accent robotique flgrant, mais ce défaut est présent aussi chez ses concurrents. Sa traduction de texte à partir d'une image s'approche du zéro faute. La conversion du russe (langue de l'éditeur de Yandex) et du japonais écrits nous a impressionnés. Les meilleures performances seront obtenues en Wifi ou en 4G car, une fois hors connexion, l'appli ne peut compter que sur son petit dictionnaire embarqué ».
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