Plaque estacade longeant la piscine
Le 28/06/2011 à 13h08
232 vues
Question d'origine :
Bonjour,
je voulais simplement savoir si il était possible de poser à notre tour des plaques le long de l'estacade de la piscine ?
Si oui, quelle est la démarche à suivre et qu'elles sont les obligations / interdictions ?
Merci
Réponse du Guichet
gds_alc
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 29/06/2011 à 07h17
Réponse du service Guichet du Savoir
Bonjour,
Pourriez- vous préciser votre question car nous ne pouvons vous répondre sans plus de détails.
S’agit-il d’une piscine publique ou privée ? Quel est le contexte ? Qu’entendez-vous par estacade ? Votre réalisation s’inspire-t-elle de l’estacade de la piscine du Rhône ?
Bonjour,
Pourriez- vous préciser votre question car nous ne pouvons vous répondre sans plus de détails.
S’agit-il d’une piscine publique ou privée ? Quel est le contexte ? Qu’entendez-vous par estacade ? Votre réalisation s’inspire-t-elle de l’estacade de la piscine du Rhône ?
Réponse du Guichet
anonyme
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 29/06/2011 à 08h57
Bonjour,
dans mon précédent sujet, je parlais de la démarche artistique et participative proposée par l'artiste lyonnais Philippe Favier, le long des berges à coté de la piscine du Rhone.
Je voulais donc savoir si il était possible à notre tour de poser des plaques afin de poursuivre l’œuvre ? En occurrence il s'agirait d'un NOM Prénom et d'une ville au Japon.
Cordialement
Omiug
dans mon précédent sujet, je parlais de la démarche artistique et participative proposée par l'artiste lyonnais Philippe Favier, le long des berges à coté de la piscine du Rhone.
Je voulais donc savoir si il était possible à notre tour de poser des plaques afin de poursuivre l’œuvre ? En occurrence il s'agirait d'un NOM Prénom et d'une ville au Japon.
Cordialement
Omiug
Réponse du Guichet
bml_reg
- Département : Documentation régionale
Le 30/06/2011 à 13h41
"Le ponton et ses 450 m de rampe me faisaient songer à une table d'orientation sans fin, il ne me restait plus qu'à tenter de nommer cet infini. Je suis allé "pêcher" une ribambelle de noms étranges et/ou oniriques que la littérature offrait à la géographie. Ces mots, une fois gravés sur des plaques de métal, furent fixés sur le parapet de bois. Ensuite, pendant plusieurs week-ends, nous avions installé nos machines sur les quais et avons convié les promeneurs rêveurs à joindre leurs "mots" aux nôtres. Il y a ainsi plus de 1300 destinations inscrites sur ce lutrin de chêne. J'aimerais que de leur propre initiative, des amoureux, des promeneurs, déposent à leur tour "leurs plaques", comme on grave ses initiales sur un arbre ou sur un banc."
Philippe Favier ; j’aimerais tant voir Syracuse, 2007, in : L’Art contemporain dans les espaces publics. Territoire du Grand Lyon 1978 / 2008, par Marianne Homiridis et Perrine Lacroix, Lyon, éd. La BF15, 2008, p. 116.
Comme Philippe Favier l’indique ci-dessus et comme il nous l’a confirmé récemment il s’agit bien, en effet, d’une œuvre initiée par lui, qu’il souhaite collective. Durant deux week-ends, un graveur avait été installé in situ, ce qui avait permis à de nombreuses personnes de choisir un nom de lieu. D’autres personnes ont vissé leurs plaques par la suite.
L’artiste invite ceux qui le souhaitent à participer à cette œuvre en ajoutant leur propre plaque (acier, zinc ou laiton ) gravée par un cordonnier par exemple. L’idée étant, en choisissant « un nom de lieu qui fait rêver », de respecter bien sûr cette réalisation qui s’inscrit dans une démarche onirique ou poétique.
Quelques images, sur ce site
Voir aussi : cette précédente réponse
DANS NOS COLLECTIONS :
Commentaires 0
Connectez-vous pour pouvoir commenter.
Se connecter