Question d'origine :
S.V.P.
En ce qui concerne le Baccalauréat 2020, " passé " ou plutôt obtenu largement, semble t il, dans des conditions très particulières ; par examen détaillé des livrets et contrôles passés durant l'année scolaire.
On se posait la question : Comment les candidats libres ont t ils étés jugés cette année ?
Sachant que, bien entendu il n'y a eu ni contrôle continu, ni livret scolaire. Je parle de ceux, qui ne sont même pas inscrit au CNED..Car , chaque année, on voit aussi des adultes qui, même en retraite ,souhaitent passer et avoir un diplôme qu'ils n'ont souvent pas pu avoir précédemment..
Alors, pour eux et les autres candidats libres, cette année, comment cela s'est-il passé ? Merci.
Réponse du Guichet
gds_ctp
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 15/07/2020 à 10h10
Bonjour,
Les modalités d'examen de la session 2020 du baccalauréat, pour les candidats dits "libres" ou "individuels", comme pour ceux issus d'établissements étrangers ou privés sans contrat, seront, selon l'Education nationale, celles d'un examen du baccalauréat tout à fait classique, mais retardé :
"Les candidats issus des établissements étrangers sans aucune démarche d’homologation et les candidats individuels passeront les épreuves programmées au début de l’année scolaire 2020-2021."
Ce qui, selon le journal L'Etudiant, ne devrait pas, en théorie, nuire à une inscription (tardive !) dans le post-bac, y compris via Parcoursup :
"Si vous n'avez pas la possibilité de prétendre au contrôle continu (c'est le cas si vous n'êtes pas scolarisé, ou ne disposez pas de livret au CNED),vous serez invité aux sessions de septembre, et vous passerez donc les épreuves écrites lors d'un bac normal . Si votre note se situe en 8 et 9,9/20, vous pourrez passer les oraux de rattrapage.
Et si vous avez suivi la procédure Parcoursup, pas d'inquiétude concernant vos vœux d'orientation pour l'année prochaine . Le ministère de l'Éducation nationale a annoncé la mise en place d'un "dispositif particulier", qui permettra aux candidats libres de "conserver le bénéfice de leur inscription dans l’enseignement supérieur, acquise dans le cadre de la procédure Parcoursup, jusqu’à la proclamation des résultats".
Ce qui ne laisse pourtant pas de poser question quant à l'égalité de traitement des candidats, selon Le Petit journal, organe des expatriés francophones :
"Les candidats libres qui ne sont pas inscrits au CNED devront, quant à eux, passer leur baccalauréat en septembre prochain. Dans une question posée à l’attention du ministre de l’Education nationale, Radya Rahal, Conseillère consulaire d’Alger et membre de l’AFE avait souligné que cette situation constituait « une rupture d’égalité avec les autres candidats à cet examen national, mais encore remettrait en cause leur inscription dans le supérieur». Une injustice qui a également été soulevée par plusieurs élus des Français de l’étranger."
Bonne journée.
Les modalités d'examen de la session 2020 du baccalauréat, pour les candidats dits "libres" ou "individuels", comme pour ceux issus d'établissements étrangers ou privés sans contrat, seront, selon l'Education nationale, celles d'un examen du baccalauréat tout à fait classique, mais retardé :
"Les candidats issus des établissements étrangers sans aucune démarche d’homologation et les candidats individuels passeront les épreuves programmées au début de l’année scolaire 2020-2021."
Ce qui, selon le journal L'Etudiant, ne devrait pas, en théorie, nuire à une inscription (tardive !) dans le post-bac, y compris via Parcoursup :
"Si vous n'avez pas la possibilité de prétendre au contrôle continu (c'est le cas si vous n'êtes pas scolarisé, ou ne disposez pas de livret au CNED),
Ce qui ne laisse pourtant pas de poser question quant à l'égalité de traitement des candidats, selon Le Petit journal, organe des expatriés francophones :
"Les candidats libres qui ne sont pas inscrits au CNED devront, quant à eux, passer leur baccalauréat en septembre prochain. Dans une question posée à l’attention du ministre de l’Education nationale, Radya Rahal, Conseillère consulaire d’Alger et membre de l’AFE avait souligné que cette situation constituait « une rupture d’égalité avec les autres candidats à cet examen national, mais encore remettrait en cause leur inscription dans le supérieur». Une injustice qui a également été soulevée par plusieurs élus des Français de l’étranger."
Bonne journée.
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