Question d'origine :
Bonjour
j aurais aimé savoir comme je pouvais faire secher du bambou de petite taille sans qu il y au de craquement a long et a cours termes
merci
Réponse du Guichet
gds_db
- Département : Equipe du Guichet du Savoir
Le 18/10/2016 à 13h04
Bonjour,
Dans ces deux précédentes réponses, il est expliqué qu'il convient defaire sécher le bambou à la verticale :
- séchage de bambous
- le bambou
« il est bon deles maintenir dressés et de conserver leur feuillage qui permet, dans les jours qui suivent la récolte, d'éliminer par évaporation une quantité non négligeable de l'eau qu'ils contenaient. Cependant, cette dernière condition n'est pas souvent respectée car, pour faciliter la manipulation des chaumes et réduire leur encombrement, ils sont la plupart du temps débarrassés de leurs branches dès l'abattage.
Les chaumes dressés sèchent en principe deux fois plus vite que ceux qui sont placés à l'horizontale . Dans le premier cas, la base des chaumes ne doit pas être en contact direct avec le sol, mais doit reposer sur des planches, des pierres ou des briques. Dans le second, les cannes seront isolées du sol en les faisant reposer, par exemple, sur un châssis en bambou constitué de quatre piquets plantés verticalement sur lesquels seront fixées deux traverses horizontales. »
Sur le site d'un spécialiste vents sauvages, il est expliqué que vous pouvezappliquer de l'huile de lin sur votre bambou afin qu'il ne se fende pas.
« le fait qu’un [bambou] se fende ou pas dépend de pas mal de paramètres mais principalement de l’équilibre de l’humidité dans le bois. Si la répartition de l’humidité est trop déséquilibrée entre l’intérieur et l’extérieur, une fente se forme. Le fait que dans des conditions identiques un morceau de bambou va se fendre et pas un autre dépend essentiellement de la dureté et de la vitesse de transmission de l’humidité. Le bambou contenant beaucoup de silice, la dureté varie d’un chaume à l’autre. » [...]
« Un certain nombre d’huiles on la propriété de sécher (de siccativer en fait), pour former un film adhésif et résistant, soit par elles même soit avec l’aide d’un catalyseur. Ces huiles ne « sèchent » pas au sens commun du terme, c’est à dire par évaporation d’un ingrédient volatile, mais par oxydation, autrement dit par absorption d’oxygène. C’est pour cela que nos amis chimistes préfèrent utiliser le terme siccativer, et non pas sécher. Le processus de siccativation s’accompagne d’un certain nombre d’autres réactions chimiques, et le film sec qui en résulte est une nouvelle substance dont les propriétés physiques et chimiques diffèrent de l’huile à l’état liquide d’origine. » [...]
« A partir de là, quelle huile utiliser ? Les choix qui semblent s’imposer sontl’huile de lin et l’huile d’abrasin , encore appelée huile de Tung, ou de Toung ou de Tong. »
Lire aussi :
- LA PRÉSERVATION DU BAMBOU
- Quelques livres sur les bambous
Pour plus d'information, nous vous conseillons de contacter nos collègues du jardin botanique de Lyon à l'adresse conseil.botanique@mairie-lyon.fr.
Bonne journée.
Dans ces deux précédentes réponses, il est expliqué qu'il convient de
- séchage de bambous
- le bambou
« il est bon de
Sur le site d'un spécialiste vents sauvages, il est expliqué que vous pouvez
« le fait qu’un [bambou] se fende ou pas dépend de pas mal de paramètres mais principalement de l’équilibre de l’humidité dans le bois. Si la répartition de l’humidité est trop déséquilibrée entre l’intérieur et l’extérieur, une fente se forme. Le fait que dans des conditions identiques un morceau de bambou va se fendre et pas un autre dépend essentiellement de la dureté et de la vitesse de transmission de l’humidité. Le bambou contenant beaucoup de silice, la dureté varie d’un chaume à l’autre. » [...]
« Un certain nombre d’huiles on la propriété de sécher (de siccativer en fait), pour former un film adhésif et résistant, soit par elles même soit avec l’aide d’un catalyseur. Ces huiles ne « sèchent » pas au sens commun du terme, c’est à dire par évaporation d’un ingrédient volatile, mais par oxydation, autrement dit par absorption d’oxygène. C’est pour cela que nos amis chimistes préfèrent utiliser le terme siccativer, et non pas sécher. Le processus de siccativation s’accompagne d’un certain nombre d’autres réactions chimiques, et le film sec qui en résulte est une nouvelle substance dont les propriétés physiques et chimiques diffèrent de l’huile à l’état liquide d’origine. » [...]
« A partir de là, quelle huile utiliser ? Les choix qui semblent s’imposer sont
Lire aussi :
- LA PRÉSERVATION DU BAMBOU
- Quelques livres sur les bambous
Pour plus d'information, nous vous conseillons de contacter nos collègues du jardin botanique de Lyon à l'adresse conseil.botanique@mairie-lyon.fr.
Bonne journée.
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