L'eau
DIVERS
+ DE 2 ANS
Le 26/06/2020 à 13h44
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Question d'origine :
Pourquoi faut-il faire attention à notre consommation d'eau si l'eau est renouvelable et ne peut rester et devenir que de l'eau, potable ou non ?
Réponse du Guichet
gds_et
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 29/06/2020 à 14h13
Bonjour,
Commençons par quelques rappels sur le cycle de l’eau, présentés sur le site du Centre de l’information sur l’eau :
L’eau douce représente moins de 3% de l’eau présente sur la planète . Elle provient essentiellement des précipitations :
« Notre planète contient un volume d’eau total d’environ 1,4 milliard de km3. Cette quantité d’eau demeure la même depuis son apparition sur Terre.
Ces 1,4 milliard de km3 se composent de 97,17 % d’eau salée et de2,83 % d’eau douce . Ils forment l’hydrosphère, c’est-à-dire l’ensemble des réserves d’eau de la Terre.
L’eau salée couvre 2/3 de la surface de la Terre et se trouve dans les mers, les océans et les banquises. Le sel qu’elle contient provient des roches et des minéraux qui sont entrés en contact avec elle.
L’eau douce provient essentiellement des précipitations. On la trouve à différents niveaux :
• à 76 % dans les glaciers
• à 22,5 % sous la terre : nappes phréatiques et nappes profondes et captives
• à 1,26 % sur la terre : eaux de surface (lacs, rivières, étangs…)
• à 0,04 % dans l’air : nuages, pluies, brouillard, brume
La principale source d’eau douce de la planète provient de la fonte des glaces de la calotte glaciaire et des glaciers.
Bien que présente en faible quantité sur terre par rapport à l’eau salée, l’eau douce est essentielle à la vie. L’alimentation en eau douce permet notamment à l’homme de vivre en lui fournissant de quoi boire, se laver et cultiver de quoi se nourrir. »
Pour être transformée en eau potable, l’eau douce est détournée dans un cycle court, le «cycle domestique de l’eau » :
« En parallèle du voyage éternellement renouvelé de l’eau sur notre planète, l’eau peut être détournée vers un autre cycle, plus court et restreint aux activités humaines. C’est grâce à ce petit voyage intérieur que nous pourrons utiliser l’eau du robinet pour notre consommation d’eau, la dépolluer après usage avant de la rendre au milieu naturel…
Pour assurer une bonne gestion de l’eau, le cycle domestique doit respecter plusieurs étapes :
• Le captage
• Le traitement
• Le stockage
• La distribution
• La collecte
• La dépollution
• Le retour à la nature
62 % de l’eau potable provient des eaux souterraines, les 38 % restants proviennent des eaux superficielles (torrents, rivières, lacs). L’eau minérale et l’eau de source sont exclusivement d’origine souterraine alors que l’eau du robinet peut provenir d’origines multiples (eaux de surface, eaux souterraines…).
L’eau est prélevée par captage dans un forage ou un puit. Le sol servant de filtre naturel permet d’assurer une bonne qualité de l’eau. Mais un traitement s’impose pour offrir une eau potable, débarrassée de ses impuretés. »
Cependant, pour que les réserves naturelles d’eau douce se reconstituent, il fautdes milliers d’années :
«Le cycle de l’eau
L’eau circule sur terre sous différentes formes : nuages, pluie, rivières et océans.
Elle va passer de la mer à l’atmosphère, de l’atmosphère à la terre puis de la terre à la mer, en suivant un cycle qui se répète indéfiniment. Au sein d’un même bassin, tous les milieux aquatiques (lacs, rivières, mer, nappes souterraines…) sont interdépendants durant ce cycle.
Le cycle de l’eau se décompose en plusieurs étapes :
L’évaporation
Grâce à l’énergie solaire, l’eau des mers et des océans s’évapore dans l’atmosphère en se débarrassant de son sel et de ses impuretés.
L’évaporation peut également provenir de la terre, nous parlerons alors d’évapotranspiration. C’est un phénomène qui transforme en vapeur d’eau les eaux des rivières, des lacs, des sols, des animaux, des hommes et surtout de la végétation. Cette vapeur d’eau viendra ensuite s’accumuler dans les nuages, de la même manière que l’évaporation des mers et océans.
La condensation
Au contact de l’atmosphère, la vapeur d’eau se refroidit et se transforme en gouttelettes qui vont former les nuages, la brume ou le brouillard.
Les précipitations
Sous l’impulsion des vents, les nuages se déplacent dans l’atmosphère. Lors d’un changement climatique et par effet de gravité, les nuages s’alourdissent et retombent sur le sol sous forme d’eaux pluviales, de grêle ou de neige.
79 % des précipitations tombent sur les océans, les 21 % restants tombent sur la terre puis viennent alimenter les nappes phréatiques, soit par infiltration, soit par ruissellement.
Les eaux de pluie qui pénètrent dans le sol par infiltration peuvent stagner jusqu’à des milliers d’années avant de retourner dans les océans. Un peu moins de la moitié des précipitations va servir à recharger les nappes souterraines, le reste repart en évaporation.
L’eau qui ne parvient pas à s’infiltrer directement dans le sol, ruisselle le long des pentes pour se jeter ensuite dans les lacs et les rivières. Cette eau suivra leurs cours pour rejoindre les mers et les océans.
Toutes les eaux issues du ruissellement (ruisseaux, rivières, fleuves, lacs) sont appelées cours d’eau de drainage.
La stagnation de l’eau dans les réservoirs naturels
Durant son cycle, l’eau va passer dans différents réservoirs naturels pour y rester plus ou moins longtemps avant de reprendre son voyage vers les mers et les océans.
Ce temps de stagnation s’appelle le temps de résidence de l’eau. Elle varie suivant les types de réservoirs :
• Atmosphère : 8 jours
• Rivières : quelques jours
• Lacs : 17 ans
•Nappes souterraines : de quelques jours à plusieurs milliers d’années
•Océan : 2 500 ans
•Glacier : plusieurs milliers d’années »
Par ailleurs, si 3% de l’eau présente sur la planète est de l’eau douce, seuls 0,7% sont réellement disponibles. Le reste de l’eau douce, constitué par les glaces et les neiges permanentes, est inexploitable.
Malgré l’abondance de l’eau sur Terre,l’eau potable est donc, paradoxalement, une denrée rare : alors que les besoins en eau liés à l’activité humaine explosent (agriculture, industrie, augmentation de la population…), la quantité d’eau douce disponible sur la planète, elle, n’augmente pas.
Enfin,l’accès à cette ressource vitale est très inégal . Chaque minute, cinq personnes meurent dans le monde parce qu’elles n’ont pas accès à l’eau potable.
Source : Environnement : l'eau se raréfie dans plusieurs régions du monde, nationalgeographic.fr
D’où l’importance d’éviter les gaspillages :
« Des ressources naturelles limitées
Nous avons beau vivre sur «la planète bleue» composée à 72% d'eau, nos ressources en eau douce sont loin d'êtres illimitées. Seul 2,8% de toute l'eau disponible sur Terre est de l'eau douce et 2,1% provient des glaces et des neiges permanentes, ce qui la rend inexploitable.
A peine 0,7% de toute l'eau terrestre est donc disponible pour l'être humain […]. Elle est en grande partie fournie par les nappes phréatiques, les cours d'eau et les réservoirs naturels ou artificiels (lacs, barrages). Sa rareté peut varier entre les différentes régions du globe : certains pays comme le Brésil ou l'Inde en sont riches, d'autres comme le Cambodge ou le Tchad n'ont pas cette chance.
Un épuisement lent mais bien réel
Si les ressources restent les mêmes, les populations augmentent... et avec elles, les besoins en eau. Marillys Macé, directrice du Centre d'Information de l'Eau, explique ainsi qu'« en Europe, notre génération consomme 8 fois plus d'eau que celle de nos grands-parents ». Or, même nos ressources en eau évoluent. Une part de notre patrimoine hydraulique est perdue à cause de la mauvaise gestion, du gaspillage ou encore de la pollution de l'eau.
En matière de gaspillage pur et simple, les fuites sont un phénomène généralisé : en moyenne, pour 5L d'eau prélevée, 1L est perdu en milieu urbain contre 2L en milieu rural. Les moyens logistiques mis en place pour limiter ce gaspillage sont à l'heure actuelle trop peu développés. En France, on estime les pertes d'eau liées aux fuites à 20%. Mais les moyens financiers ne permettent de remplacer que 0,6% des canalisations chaque année.
L'agriculture et l'élevage prennent eux-aussi part au gaspillage. L'irrigation agricole, par exemple, est très gourmande en eau mais 15 à 30% de l'eau utilisée disparaît avec l'évaporation. Selon Marillys Macé « on mange plus d'eau que l'on en boit. » Par exemple, pour produire le steak de votre assiette, il aura fallu 3 960L d'eau très exactement. » »
Source : Pourquoi ne faut-il pas gaspiller l'eau ?
« Consommer de l’eau avec modération n’est pas si contraignant. Or l’impact sur cette ressource précieuse est réel. Les ménages français sont à l’origine de 48 % des prélèvements d’eau douce réalisés, contre 24 % pour l’industrie et 29 % pour l’agriculture indique le rapport 2019 du BIPE (bureau d’informations et de prévisions économiques).
En tant que consommateur, il est aussi possible d’influer sur la consommation de ces deux secteurs économiques. Comment ? En s’informant sur l’empreinte eau des produits que vous achetez. Vous l’ignorez peut-être, mais savourer un petit café ne se résume pas à boire 7 cl d’eau. Indirectement, 140 litres d’eau auront été utilisés pour vous offrir ce petit plaisir. Le chiffre défini par WWF France, prend en compte l’eau utilisée pour faire pousser le plan de café, le transformer, le transporter, l’emballer… Et inclut même l’eau utilisée pour fabriquer la tasse ! Du pain, aux voitures en passant par les vêtements : tous les biens de consommation ont une empreinte eau. Dans son site toutsurmoneau.fr, Suez donne quelques comparaisons qui interpellent, comme une tasse de café égale deux douches ! »
Source : Et si on consommait l’eau avec modération ? ouest-france.fr
Pour aller plus loin :
- La crise de l’eau illustrée en 5 graphiques, lemonde.fr
- Quatre idées reçues sur la pénurie d'eau dans le monde, europe1.fr
- Ressources naturelles.
La carte de la pénurie d’eau qui menace un quart de l’humanité, courrierinternational.com
Bonne journée.
Commençons par quelques rappels sur le cycle de l’eau, présentés sur le site du Centre de l’information sur l’eau :
« Notre planète contient un volume d’eau total d’environ 1,4 milliard de km3. Cette quantité d’eau demeure la même depuis son apparition sur Terre.
Ces 1,4 milliard de km3 se composent de 97,17 % d’eau salée et de
L’eau salée couvre 2/3 de la surface de la Terre et se trouve dans les mers, les océans et les banquises. Le sel qu’elle contient provient des roches et des minéraux qui sont entrés en contact avec elle.
L’eau douce provient essentiellement des précipitations. On la trouve à différents niveaux :
• à 76 % dans les glaciers
• à 22,5 % sous la terre : nappes phréatiques et nappes profondes et captives
• à 1,26 % sur la terre : eaux de surface (lacs, rivières, étangs…)
• à 0,04 % dans l’air : nuages, pluies, brouillard, brume
La principale source d’eau douce de la planète provient de la fonte des glaces de la calotte glaciaire et des glaciers.
Bien que présente en faible quantité sur terre par rapport à l’eau salée, l’eau douce est essentielle à la vie. L’alimentation en eau douce permet notamment à l’homme de vivre en lui fournissant de quoi boire, se laver et cultiver de quoi se nourrir. »
Pour être transformée en eau potable, l’eau douce est détournée dans un cycle court, le «
« En parallèle du voyage éternellement renouvelé de l’eau sur notre planète, l’eau peut être détournée vers un autre cycle, plus court et restreint aux activités humaines. C’est grâce à ce petit voyage intérieur que nous pourrons utiliser l’eau du robinet pour notre consommation d’eau, la dépolluer après usage avant de la rendre au milieu naturel…
Pour assurer une bonne gestion de l’eau, le cycle domestique doit respecter plusieurs étapes :
• Le captage
• Le traitement
• Le stockage
• La distribution
• La collecte
• La dépollution
• Le retour à la nature
62 % de l’eau potable provient des eaux souterraines, les 38 % restants proviennent des eaux superficielles (torrents, rivières, lacs). L’eau minérale et l’eau de source sont exclusivement d’origine souterraine alors que l’eau du robinet peut provenir d’origines multiples (eaux de surface, eaux souterraines…).
L’eau est prélevée par captage dans un forage ou un puit. Le sol servant de filtre naturel permet d’assurer une bonne qualité de l’eau. Mais un traitement s’impose pour offrir une eau potable, débarrassée de ses impuretés. »
Cependant, pour que les réserves naturelles d’eau douce se reconstituent, il faut
«
L’eau circule sur terre sous différentes formes : nuages, pluie, rivières et océans.
Elle va passer de la mer à l’atmosphère, de l’atmosphère à la terre puis de la terre à la mer, en suivant un cycle qui se répète indéfiniment. Au sein d’un même bassin, tous les milieux aquatiques (lacs, rivières, mer, nappes souterraines…) sont interdépendants durant ce cycle.
Le cycle de l’eau se décompose en plusieurs étapes :
Grâce à l’énergie solaire, l’eau des mers et des océans s’évapore dans l’atmosphère en se débarrassant de son sel et de ses impuretés.
L’évaporation peut également provenir de la terre, nous parlerons alors d’évapotranspiration. C’est un phénomène qui transforme en vapeur d’eau les eaux des rivières, des lacs, des sols, des animaux, des hommes et surtout de la végétation. Cette vapeur d’eau viendra ensuite s’accumuler dans les nuages, de la même manière que l’évaporation des mers et océans.
Au contact de l’atmosphère, la vapeur d’eau se refroidit et se transforme en gouttelettes qui vont former les nuages, la brume ou le brouillard.
Sous l’impulsion des vents, les nuages se déplacent dans l’atmosphère. Lors d’un changement climatique et par effet de gravité, les nuages s’alourdissent et retombent sur le sol sous forme d’eaux pluviales, de grêle ou de neige.
79 % des précipitations tombent sur les océans, les 21 % restants tombent sur la terre puis viennent alimenter les nappes phréatiques, soit par infiltration, soit par ruissellement.
Les eaux de pluie qui pénètrent dans le sol par infiltration peuvent stagner jusqu’à des milliers d’années avant de retourner dans les océans. Un peu moins de la moitié des précipitations va servir à recharger les nappes souterraines, le reste repart en évaporation.
L’eau qui ne parvient pas à s’infiltrer directement dans le sol, ruisselle le long des pentes pour se jeter ensuite dans les lacs et les rivières. Cette eau suivra leurs cours pour rejoindre les mers et les océans.
Toutes les eaux issues du ruissellement (ruisseaux, rivières, fleuves, lacs) sont appelées cours d’eau de drainage.
Durant son cycle, l’eau va passer dans différents réservoirs naturels pour y rester plus ou moins longtemps avant de reprendre son voyage vers les mers et les océans.
Ce temps de stagnation s’appelle le temps de résidence de l’eau. Elle varie suivant les types de réservoirs :
• Atmosphère : 8 jours
• Rivières : quelques jours
• Lacs : 17 ans
•
•
•
Par ailleurs, si 3% de l’eau présente sur la planète est de l’eau douce, seuls 0,7% sont réellement disponibles. Le reste de l’eau douce, constitué par les glaces et les neiges permanentes, est inexploitable.
Malgré l’abondance de l’eau sur Terre,
Enfin,
Source : Environnement : l'eau se raréfie dans plusieurs régions du monde, nationalgeographic.fr
D’où l’importance d’éviter les gaspillages :
« Des ressources naturelles limitées
Nous avons beau vivre sur «la planète bleue» composée à 72% d'eau, nos ressources en eau douce sont loin d'êtres illimitées. Seul 2,8% de toute l'eau disponible sur Terre est de l'eau douce et 2,1% provient des glaces et des neiges permanentes, ce qui la rend inexploitable.
A peine 0,7% de toute l'eau terrestre est donc disponible pour l'être humain […]. Elle est en grande partie fournie par les nappes phréatiques, les cours d'eau et les réservoirs naturels ou artificiels (lacs, barrages). Sa rareté peut varier entre les différentes régions du globe : certains pays comme le Brésil ou l'Inde en sont riches, d'autres comme le Cambodge ou le Tchad n'ont pas cette chance.
Un épuisement lent mais bien réel
Si les ressources restent les mêmes, les populations augmentent... et avec elles, les besoins en eau. Marillys Macé, directrice du Centre d'Information de l'Eau, explique ainsi qu'« en Europe, notre génération consomme 8 fois plus d'eau que celle de nos grands-parents ». Or, même nos ressources en eau évoluent. Une part de notre patrimoine hydraulique est perdue à cause de la mauvaise gestion, du gaspillage ou encore de la pollution de l'eau.
En matière de gaspillage pur et simple, les fuites sont un phénomène généralisé : en moyenne, pour 5L d'eau prélevée, 1L est perdu en milieu urbain contre 2L en milieu rural. Les moyens logistiques mis en place pour limiter ce gaspillage sont à l'heure actuelle trop peu développés. En France, on estime les pertes d'eau liées aux fuites à 20%. Mais les moyens financiers ne permettent de remplacer que 0,6% des canalisations chaque année.
L'agriculture et l'élevage prennent eux-aussi part au gaspillage. L'irrigation agricole, par exemple, est très gourmande en eau mais 15 à 30% de l'eau utilisée disparaît avec l'évaporation. Selon Marillys Macé « on mange plus d'eau que l'on en boit. » Par exemple, pour produire le steak de votre assiette, il aura fallu 3 960L d'eau très exactement. » »
Source : Pourquoi ne faut-il pas gaspiller l'eau ?
« Consommer de l’eau avec modération n’est pas si contraignant. Or l’impact sur cette ressource précieuse est réel. Les ménages français sont à l’origine de 48 % des prélèvements d’eau douce réalisés, contre 24 % pour l’industrie et 29 % pour l’agriculture indique le rapport 2019 du BIPE (bureau d’informations et de prévisions économiques).
En tant que consommateur, il est aussi possible d’influer sur la consommation de ces deux secteurs économiques. Comment ? En s’informant sur l’empreinte eau des produits que vous achetez. Vous l’ignorez peut-être, mais savourer un petit café ne se résume pas à boire 7 cl d’eau. Indirectement, 140 litres d’eau auront été utilisés pour vous offrir ce petit plaisir. Le chiffre défini par WWF France, prend en compte l’eau utilisée pour faire pousser le plan de café, le transformer, le transporter, l’emballer… Et inclut même l’eau utilisée pour fabriquer la tasse ! Du pain, aux voitures en passant par les vêtements : tous les biens de consommation ont une empreinte eau. Dans son site toutsurmoneau.fr, Suez donne quelques comparaisons qui interpellent, comme une tasse de café égale deux douches ! »
Source : Et si on consommait l’eau avec modération ? ouest-france.fr
- La crise de l’eau illustrée en 5 graphiques, lemonde.fr
- Quatre idées reçues sur la pénurie d'eau dans le monde, europe1.fr
- Ressources naturelles.
La carte de la pénurie d’eau qui menace un quart de l’humanité, courrierinternational.com
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