Question d'origine :
Bonjour,
Je recherche l'intéraglité d'une version en argot de "Le corbeau et le renard" dont les premiers vers sont :
Un piniouf de corbac sur un feuillu planqué ,
S'envoyait dans la fraise un coulant baraqué .
Le Renard qu'était marle , vint lui t'nir la jactance ,
N'ayant depuis 3 jours pas un clou d'becquetance
Réponse du Guichet

Il existe de très nombreuses versions argotiques de cette fable...
En voici une qui se rapproche des propos que vous nous avez rapportés :
Un pignouf de corbac, sur un touffu planqué
S'envoyait par la fraise un coulant baraqué.
Un goupil, qu'était marle, vint lui tenir la jactance,
N'ayant eu sous la dent qu'un cent d'clous de bectance.
"Salut, oh canari! Ah, comme tu dégotes!
T'es frusqué, vrai de vrai, comme un gonze de la haute!
Si tu pousses la goualante aussi bien qu't'es nippé,
T'es l'costaud à la r'dresse des gros bras du quartier!"
A ces mots, l'canari, pas mariolle, Lui vire le coulant par la fiole.
"Enlevé!" fait le goupil, "c'est pesé, j't'ai baisé!
Faut pas t'fier aux mectons qui t'font ça à la gomme,
En t'lâchant en loucedé des bobards tartignolles."
source : www.lafontaine.net
Voir également :
- www.lafontaine.net et notamment les versions de "Jean de la Pisseuse" et de Bernard Gelval...
- latortue.free.fr
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