Voici des liens vers des pages Internet traitant des syndicats en Chine et d’autres liés à cette question – classés par ordre chronologique : 

Fédération nationale des syndicats de Chine, Wikipédia

Chine : où en est le mouvement ouvrier ?, Solidaires International, no 13, 201

La partie 3 est intitulée : LA CENTRALE SYNDICALE UNIQUE ACFTU

Ci-dessous le sommaire de cette partie 3 et le lien vers la revue en ligne 

38 Un peu d'histoire
40 Les principes de base de l’ACFTU
44 La position traditionnelle des associations de défense
des salariéEs
46 Un tournant de l’ACFTU ?
49 Bilan des tentatives d’auto-réforme de l'ACFTU
52 Le syndicalisme mondial et l'ACFTU
56 L'ACFTU et la politique internationale de l’État-parti

Un article du cabinet d’avocat PICOVSCHI : Les unions syndicales en Chine (Mis à jour mars 2021)

Un article d’Amnesty International : Hong Kong. La dissolution d’un syndicat enseignant indique un durcissement de la répression contre les organisations syndicales indépendantes (2021)

Extrait du dossier La Chine mondialisée : champs, acteurs et pratiques, Perspectives chinoises, 2020, no 4: Ivan Franceschini, La Fédération nationale des syndicats de Chine part à l’étranger: le cas du Cambodge, Communiqué de presse de l’Organisation internationale du travail (2019)

Coopération Sud-Sud : L’OIT et la Fédération nationale des syndicats de Chine unissent leurs forces pour mettre en œuvre le travail décent dans la région Asie-Pacifique (2019) : "L’Organisation internationale du Travail (OIT) a signé aujourd’hui un accord de coopération avec la Fédération nationale des syndicats de Chine (ACFTU) afin d’améliorer les capacités institutionnelles des syndicats en Asie et dans le Pacifique."

Thomas Amossé et Jean-Michel Denis, Discrimination syndicale et formes d’anti-syndicalisme dans le monde, Travail et Emploi, avril-juin 2016, no 146

Voici l’extrait concernant plus précisément la Chine :

En Chine, c’est une autre forme de contrôle du syndicalisme qui a été suivie et l’histoire politique permet de comprendre la situation de monopole syndical du pays.
Comme le relève Chloé Froissart :

"Bien que la Chine n’ait cessé d’évoluer vers une économie capitaliste depuis la réintroduction de l’économie de marché en 1978, le système institutionnel et idéologique qui régit les relations professionnelles demeure profondément ancré dans son passé communiste. [...] Il n’existe [...] pas de liberté syndicale ni de droit de grève. La Fédération nationale des syndicats chinois (FNSC), organisation de masse créée par le Parti et qui lui est toujours entièrement subordonnée, réunit tous les syndicats. Si la Loi sur les syndicats (1992, révisée en 2001) leur donne le droit de se former au
niveau des usines, c’est à la condition qu’ils obtiennent l’approbation des échelons supérieurs de la FNSC et qu’ils reconnaissent son rôle dirigeant. Aussi toute tentative de fonder un syndicat indépendant a-t-elle toujours été sévèrement réprimée."

(Froissart, 2014, p. 44 et 45)

Un article de Courrier international (2010) : CHINE. Mais où sont passés les syndicats ?

Un article d'Elaine Sio-ieng Hui, doctorante à l’Université de Kassel (Département des sciences sociales),
en Allemagne publié sur Global Labour University : La réforme syndicale et la législation du travail en Chine: entretien avec deux militants ouvriers

Un article de l’Institut de recherches économiques et sociales (2006) : Cai CNONGGUO et Pierre CONCIALDI, Chine. Les syndicats chinois entre impuissance et immobilisme, Chronique internationale de l’IRES, 2006, no 102