Question d'origine :
Cher Guichet du Savoir, Nous savons que le Sars Cov 2 se transmet essentiellement après 19h (bientôt 21h) dans les lieux confinés mais pas dans les cantines scolaires, dans les salles de spectacle mais pas dans les transports en commun etc. Existe-t-il à votre connaissance des études concernant les lieux de contamination ? En particulier, est-ce que des outils de traçage comme les applications du type tous anticovid ont permis de déterminer les endroits où les personnes se transmettent le virus ? Une fois de plus, je vous remercie pour votre travail. Napi
Réponse du Guichet
gds_et
- Département : Équipe du Guichet du Savoir
Le 14/05/2021 à 09h35
Bonjour,
L’étude ComCor de l’Institut Pasteur a fait l’objet de plusieurs publications :
En décembre 2020, les résultats de l’étude épidémiologique sur les circonstances et les lieux de contamination par le virus SARS-CoV-2 portent sur un échantillon de 30 330 personnes enregistrées dans la base Contact-Covid entre le 21 octobre et le 3 novembre 2020.
En mars 2021, l’étude ComCor « couvre […] la période du 1er octobre 2020 au 31 janvier 2021, inclut 77208 participants avec infection aiguë par le SARS-CoV-2, hors personnels soignants (8,2% des personnes contactées par mail par la CNAM). L’étude permet de décrire les lieux et les circonstances de contamination. Elle compare également les comportements de 8702 de ces cas avec ceux de 4351 témoins identifiés par IPSOS et appariés sur l’âge, le sexe, le lieu, et la date. »
Nous en citons un extrait (l’intégralité de l’étude est consultable en ligne via les liens ci-dessus) :
« L’analyse des quatre premiers mois de l’étude fait ressortir les points suivants:
a. Circonstances de contamination
45% des personnes infectées connaissent la personne source qui les a infectées, 18% suspectent un évènement particulier sans connaître la personne source de l’infection, et 37% ne savent pas comment elles se sont infectées.
Quand la personne source est connue, il s’agit avant tout d’une source intra-domiciliaire (42%), puis d’une source extra-domiciliaire qui relève de la famille élargie (21%), d’une source professionnelle (15%), d’amis (11%) ou autre (11%). Les réunions privées, avec famille élargie et amis, et letravail en bureaux partagés, constituent les circonstances de transmission du virus les mieux identifiées. Les repas, aussi bien en milieu privé que professionnel, sont les circonstances les plus fréquemment rapportées à l’origine de ces transmissions. On note que le sur-risque associé aux réunions privées diminue entre octobre et janvier, témoignant sans doute d’une meilleure gestion des risques par les participants lors de ces réunions.
Encore trop souvent (37% des cas pour les transmissions hors du domicile), la personne source de l’infection était symptomatique au moment du contact infectant. C’est particulièrement vrai en milieu professionnel (46% des cas).
L’analyse de plus de 10000 contacts uniques extra-domiciliaires à l’origine d’une infection montre que ce contact a eu lieu à l’intérieur fenêtres fermées dans 80% des cas, à l’intérieur fenêtres ouvertes dans 15% des cas, et à l’extérieur dans 5% des cas.
b. L’isolement
Les patients s’isolent vis-à-vis des personnes vivant hors de leur foyer, mais attendent de plus en plus le retour du résultat du test pour s’isoler au détriment d’un isolement dès le début des symptômes. Les patients s’isolent moins souvent vis-à-vis des personnes vivant au sein de leur foyer (60%) qu’ils ne le font vis-à-vis des personnes qui vivent hors de leur foyer (98%). Cependant, sans doute parce que l’accès au test est plus rapide en janvier comparé à octobre, le délai moyen entre début des symptômes et isolement est passé de 1,7 jours en octobre à 1,3 jours en janvier.
c. La scolarité
Au sein du foyer, avoir un enfant scolarisé représente un sur-risque d’infection pour les adultes, notamment ceux gardés par une assistante maternelle (+39%), et ceux qui vont au collège (+27%) et au lycée (+29%). Avec une exception toutefois: avoir un enfant scolarisé en primaire n’a pas été jusqu’à maintenant associé à un sur-risque d’infection pour les adultes vivant dans le même foyer. On note cependant depuis janvier une augmentation des infections intra-domiciliaires vers les adultes dues à des enfants de moins de 11 ans.
d. Le travail
La relation entre diplômes et risque d’infection suit une courbe en U: les bacheliers jusqu’à Bac+4 sont moins à risque d’infection, comparés aux non-bacheliers et aux Bac+5.
Les catégories professionnelles les plus à risques ont, par ordre croissant de sur-risque, les cadres de la fonction publique, les ingénieurs et les cadres techniques d’entreprise, les cadres administratifs et commerciaux d’entreprise, les chefs d’entreprise de 10 salariés ou plus, les professions intermédiaires de la santé et du travail social, et les chauffeurs.
Les catégories professionnelles les moins à risques ont, par ordre décroissant de risque, les employés civils et agents de service de la fonction publique, les employés administratifs de l’entreprise, les retraités, les professions intermédiaires administratives de la fonction publique, les personnels des services directs aux particuliers, les policiers et militaires, les professeurs des écoles et instituteurs, les professions intermédiaires administratives et commerciales de l’entreprise, les professeurs et professions scientifiques, et les agriculteurs.
Les autres catégories professionnelles sont considérées comme ayant un risque «moyen» d’infection: artisans et ouvriers artisans, commerçants et assimilés, professions libérales, professions de l’information, des arts et des spectacles, techniciens, contremaîtres et agents de maîtrise, employés de commerce, ouvriers qualifiés de type industriel, étudiants, chômeurs et inactifs.
Les transports en commun n’ont pas été associés à un sur-risque d’infection. Le co-voiturage l’a été(+58%).Le télétravail protège(-24%pour le télétravail partiel, -30%pour le télétravail total par rapport à des personnes effectuant le même travail en bureau).
e. Les lieux fréquentés
Les cours en amphithéâtre ou en salle pour la formation continue, le sport en extérieur, et la fréquentation des lieux de culte, des commerces, et des salons de coiffure, n’ont pas étéassociés à un sur-risque d’infection.
La fréquentation des lieux culturels n’a pas été associée à un sur-risque d’infection pendant la période où ils étaient ouverts (octobre). Le risque n’a pas pu être ré-évalué depuis leur fermeture en novembre.
La fréquentation des salles de sport en intérieur a été associée à un sur-risque à la limite de la significativité statistique pendant la période où elles étaient ouvertes (octobre). Le risque n’a pas pu être ré-évalué depuis leur fermeture en novembre.
La fréquentation des bars et des restaurants a étéassociée à un sur-risque d’infection pendant la période où ils étaient ouverts (octobre). Le risque n’a pas pu être ré-évalué depuis leur fermeture en novembre.
Les déplacements à l’étranger ont été associés à un sur-risque d’infection (+53%).
Ces résultats sont conformes aux données de la littérature internationale, et notamment les études de Fisher(MMWR, 2020), Chang (Nature, 2021), et la très récente étude de cohorte américaine de Nash (medRxiv, 2021)1. Il apparait également que les clusters et épisodes de transmission bien caractérisés sont très majoritairement identifiés en espaces intérieur comparé à extérieur(Weed & Foad, medRxiv, 2020; Cevik M, CID, 2020; Bulfone, JID, 2021).
Les recommandations qui peuvent être faites à la lecture de ces résultats sont les suivantes:
• Continuer de bien communiquer sur les risques associés aux rencontres, notamment en milieu fermé sans aération, et sans respect des gestes barrières. Ce sont vraisemblablement les principales sources de transmission du virus.
• Bien insister sur l’importance de mettre un masque, de respecter les autres gestes barrières, et de s’isoler immédiatement dès le début des symptômes, et non pas au retour des résultats du test. La contagiosité est maximale dans les cinqjours qui suivent le début des symptômes. L’isolement doit se faire également vis-à-vis des personnes du même foyer, et il est important d’avoir recours aux services offerts par la Cnam pour organiser l’isolement quand il est difficile. Il est essentiel de ne pas se rendre sur son lieu de travail si l’on est symptomatique.
• En ce qui concerne les écoles, avoir un enfant qui va au collège ou au lycée représente le sur-risque le plus important pour les adultes. Vis-à-vis des plus petits, le sur-risque pour les adultes semble plus important si les enfants sont gardés par une assistante maternelle comparés aux enfants qui vont en crèche.
• Les catégories professionnelles exerçant en milieu clos (chauffeurs), et celles associés avec de fréquents contacts avec d’autres personnes, semblent plus exposées. Il est important en milieu professionnel d’aérer le lieu de travail, de s’assurer que les contacts inter-individuels sont protégés, notamment lors des réunions physiques, en bureau partagé, et lors de la restauration. Privilégier le télétravail quand il est possible.
• Il n’y a pas de sur-risque documenté dans les transports en commun, probablement parce que les gestes barrières peuvent y être respectés. Attention au co-voiturage qui reste une circonstance importante et stable de transmission au cours de la période d’étude.
• La fréquentation des lieux publics où les gestes barrières peuvent être respectés (commerces, salles de cours, amphithéâtres, lieux de culte, et salons de coiffure), n’a pas été associée à un sur-risque d’infection dans l’étude.
• Le sport en extérieur peut être recommandé tant que la distance physique est respectée.
Quelques articles en ligne qui commentent cette étude et / ou en citent d'autres :
- Covid-19 : les lieux clos et les repas, principaux vecteurs de contamination, capital.fr
- Coronavirus : une nouvelle étude confirme que le virus circule en majorité dans les lieux clos, francebleu.fr
- Coronavirus : comment se contamine-t-on ? Ce que révèle l’étude de l’Institut Pasteur, sudouest.fr
- Foyers, bureaux, repas... Ces lieux clos et mal ventilés où le virus circule beaucoup, leprogres.fr
- Covid-19 : les restrictions sanitaires sont-elles logiques ? pourquoidocteur.fr
- Covid-19 : le risque de contamination moins élevé au cinéma qu'à l'école, selon une étude, lci.fr
- Covid-19 : une étude allemande montre que le musée est moins dangereux qu'un supermarché, lefigaro.fr
- Quels sont les lieux où l'on risque le plus d'être contaminé au Covid-19? slate.fr
Bonne journée.
L’étude ComCor de l’Institut Pasteur a fait l’objet de plusieurs publications :
En décembre 2020, les résultats de l’étude épidémiologique sur les circonstances et les lieux de contamination par le virus SARS-CoV-2 portent sur un échantillon de 30 330 personnes enregistrées dans la base Contact-Covid entre le 21 octobre et le 3 novembre 2020.
En mars 2021, l’étude ComCor « couvre […] la période du 1er octobre 2020 au 31 janvier 2021, inclut 77208 participants avec infection aiguë par le SARS-CoV-2, hors personnels soignants (8,2% des personnes contactées par mail par la CNAM). L’étude permet de décrire les lieux et les circonstances de contamination. Elle compare également les comportements de 8702 de ces cas avec ceux de 4351 témoins identifiés par IPSOS et appariés sur l’âge, le sexe, le lieu, et la date. »
Nous en citons un extrait (l’intégralité de l’étude est consultable en ligne via les liens ci-dessus) :
« L’analyse des quatre premiers mois de l’étude fait ressortir les points suivants:
45% des personnes infectées connaissent la personne source qui les a infectées, 18% suspectent un évènement particulier sans connaître la personne source de l’infection, et 37% ne savent pas comment elles se sont infectées.
Quand la personne source est connue, il s’agit avant tout d’une source intra-domiciliaire (42%), puis d’une source extra-domiciliaire qui relève de la famille élargie (21%), d’une source professionnelle (15%), d’amis (11%) ou autre (11%). Les réunions privées, avec famille élargie et amis, et letravail en bureaux partagés, constituent les circonstances de transmission du virus les mieux identifiées. Les repas, aussi bien en milieu privé que professionnel, sont les circonstances les plus fréquemment rapportées à l’origine de ces transmissions. On note que le sur-risque associé aux réunions privées diminue entre octobre et janvier, témoignant sans doute d’une meilleure gestion des risques par les participants lors de ces réunions.
Encore trop souvent (37% des cas pour les transmissions hors du domicile), la personne source de l’infection était symptomatique au moment du contact infectant. C’est particulièrement vrai en milieu professionnel (46% des cas).
L’analyse de plus de 10000 contacts uniques extra-domiciliaires à l’origine d’une infection montre que ce contact a eu lieu à l’intérieur fenêtres fermées dans 80% des cas, à l’intérieur fenêtres ouvertes dans 15% des cas, et à l’extérieur dans 5% des cas.
Les patients s’isolent vis-à-vis des personnes vivant hors de leur foyer, mais attendent de plus en plus le retour du résultat du test pour s’isoler au détriment d’un isolement dès le début des symptômes. Les patients s’isolent moins souvent vis-à-vis des personnes vivant au sein de leur foyer (60%) qu’ils ne le font vis-à-vis des personnes qui vivent hors de leur foyer (98%). Cependant, sans doute parce que l’accès au test est plus rapide en janvier comparé à octobre, le délai moyen entre début des symptômes et isolement est passé de 1,7 jours en octobre à 1,3 jours en janvier.
Au sein du foyer, avoir un enfant scolarisé représente un sur-risque d’infection pour les adultes, notamment ceux gardés par une assistante maternelle (+39%), et ceux qui vont au collège (+27%) et au lycée (+29%). Avec une exception toutefois: avoir un enfant scolarisé en primaire n’a pas été jusqu’à maintenant associé à un sur-risque d’infection pour les adultes vivant dans le même foyer. On note cependant depuis janvier une augmentation des infections intra-domiciliaires vers les adultes dues à des enfants de moins de 11 ans.
La relation entre diplômes et risque d’infection suit une courbe en U: les bacheliers jusqu’à Bac+4 sont moins à risque d’infection, comparés aux non-bacheliers et aux Bac+5.
Les catégories professionnelles les plus à risques ont, par ordre croissant de sur-risque, les cadres de la fonction publique, les ingénieurs et les cadres techniques d’entreprise, les cadres administratifs et commerciaux d’entreprise, les chefs d’entreprise de 10 salariés ou plus, les professions intermédiaires de la santé et du travail social, et les chauffeurs.
Les catégories professionnelles les moins à risques ont, par ordre décroissant de risque, les employés civils et agents de service de la fonction publique, les employés administratifs de l’entreprise, les retraités, les professions intermédiaires administratives de la fonction publique, les personnels des services directs aux particuliers, les policiers et militaires, les professeurs des écoles et instituteurs, les professions intermédiaires administratives et commerciales de l’entreprise, les professeurs et professions scientifiques, et les agriculteurs.
Les autres catégories professionnelles sont considérées comme ayant un risque «moyen» d’infection: artisans et ouvriers artisans, commerçants et assimilés, professions libérales, professions de l’information, des arts et des spectacles, techniciens, contremaîtres et agents de maîtrise, employés de commerce, ouvriers qualifiés de type industriel, étudiants, chômeurs et inactifs.
Les transports en commun n’ont pas été associés à un sur-risque d’infection. Le co-voiturage l’a été(+58%).Le télétravail protège(-24%pour le télétravail partiel, -30%pour le télétravail total par rapport à des personnes effectuant le même travail en bureau).
Les cours en amphithéâtre ou en salle pour la formation continue, le sport en extérieur, et la fréquentation des lieux de culte, des commerces, et des salons de coiffure, n’ont pas étéassociés à un sur-risque d’infection.
La fréquentation des lieux culturels n’a pas été associée à un sur-risque d’infection pendant la période où ils étaient ouverts (octobre). Le risque n’a pas pu être ré-évalué depuis leur fermeture en novembre.
La fréquentation des salles de sport en intérieur a été associée à un sur-risque à la limite de la significativité statistique pendant la période où elles étaient ouvertes (octobre). Le risque n’a pas pu être ré-évalué depuis leur fermeture en novembre.
La fréquentation des bars et des restaurants a étéassociée à un sur-risque d’infection pendant la période où ils étaient ouverts (octobre). Le risque n’a pas pu être ré-évalué depuis leur fermeture en novembre.
Les déplacements à l’étranger ont été associés à un sur-risque d’infection (+53%).
Ces résultats sont conformes aux données de la littérature internationale, et notamment les études de Fisher(MMWR, 2020), Chang (Nature, 2021), et la très récente étude de cohorte américaine de Nash (medRxiv, 2021)1. Il apparait également que les clusters et épisodes de transmission bien caractérisés sont très majoritairement identifiés en espaces intérieur comparé à extérieur(Weed & Foad, medRxiv, 2020; Cevik M, CID, 2020; Bulfone, JID, 2021).
Les recommandations qui peuvent être faites à la lecture de ces résultats sont les suivantes:
• Continuer de bien communiquer sur les risques associés aux rencontres, notamment en milieu fermé sans aération, et sans respect des gestes barrières. Ce sont vraisemblablement les principales sources de transmission du virus.
• Bien insister sur l’importance de mettre un masque, de respecter les autres gestes barrières, et de s’isoler immédiatement dès le début des symptômes, et non pas au retour des résultats du test. La contagiosité est maximale dans les cinqjours qui suivent le début des symptômes. L’isolement doit se faire également vis-à-vis des personnes du même foyer, et il est important d’avoir recours aux services offerts par la Cnam pour organiser l’isolement quand il est difficile. Il est essentiel de ne pas se rendre sur son lieu de travail si l’on est symptomatique.
• En ce qui concerne les écoles, avoir un enfant qui va au collège ou au lycée représente le sur-risque le plus important pour les adultes. Vis-à-vis des plus petits, le sur-risque pour les adultes semble plus important si les enfants sont gardés par une assistante maternelle comparés aux enfants qui vont en crèche.
• Les catégories professionnelles exerçant en milieu clos (chauffeurs), et celles associés avec de fréquents contacts avec d’autres personnes, semblent plus exposées. Il est important en milieu professionnel d’aérer le lieu de travail, de s’assurer que les contacts inter-individuels sont protégés, notamment lors des réunions physiques, en bureau partagé, et lors de la restauration. Privilégier le télétravail quand il est possible.
• Il n’y a pas de sur-risque documenté dans les transports en commun, probablement parce que les gestes barrières peuvent y être respectés. Attention au co-voiturage qui reste une circonstance importante et stable de transmission au cours de la période d’étude.
• La fréquentation des lieux publics où les gestes barrières peuvent être respectés (commerces, salles de cours, amphithéâtres, lieux de culte, et salons de coiffure), n’a pas été associée à un sur-risque d’infection dans l’étude.
• Le sport en extérieur peut être recommandé tant que la distance physique est respectée.
Quelques articles en ligne qui commentent cette étude et / ou en citent d'autres :
- Covid-19 : les lieux clos et les repas, principaux vecteurs de contamination, capital.fr
- Coronavirus : une nouvelle étude confirme que le virus circule en majorité dans les lieux clos, francebleu.fr
- Coronavirus : comment se contamine-t-on ? Ce que révèle l’étude de l’Institut Pasteur, sudouest.fr
- Foyers, bureaux, repas... Ces lieux clos et mal ventilés où le virus circule beaucoup, leprogres.fr
- Covid-19 : les restrictions sanitaires sont-elles logiques ? pourquoidocteur.fr
- Covid-19 : le risque de contamination moins élevé au cinéma qu'à l'école, selon une étude, lci.fr
- Covid-19 : une étude allemande montre que le musée est moins dangereux qu'un supermarché, lefigaro.fr
- Quels sont les lieux où l'on risque le plus d'être contaminé au Covid-19? slate.fr
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